Cet article a pour sujet la montée de l'industrie du transgenrisme créée par des milliardaires qui soutiennent l'appareil politique LGBT et qui investissent dans les technologies médicales et pharmaceutiques avec la stratégie sombre et sinistre de faussement créer une dissociation avec la réalité biologique de notre sexualité pour détruire nos organes de reproduction dans un but purement lucratif.

7 pages. Traduit par Paulin Bédard

Comment une poignée de milliardaires a créé le "mouvement" transgenre Entretien avec Jennifer Bilek

Note de la rédaction

Cet article lève le voile sur les stratégies sombres et sinistres qui se cachent derrière la montée fulgurante de « l’industrie » transgenre et des horribles destructions de vies humaines qui en découlent.

Nous sentant impuissants devant l’ampleur de ce fléau, nous nous en remettons à la bienveillance et à la toute-puissance de notre Dieu qui saura donner à son Église la force, le courage et la sagesse de répondre au mal par le bien.

À ce monde angoissé et en plein désarroi moral et spirituel, l’Éternel notre Dieu nous appelle à proclamer la bonne nouvelle de l’Évangile de Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, mort sur la croix et ressuscité dans son corps glorieux pour offrir une espérance vivante, joyeuse et certaine à tous ceux qui trouvent refuge en lui.

Il nous appelle à résister et à vivre notre sainte vocation en préservant et en proclamant la vérité inaltérable ancrée dans la réalité biologique et révélée dans les Écritures selon laquelle il nous a créés hommes et femmes et nous restaure à l’image de son Fils Jésus-Christ pour vivre notre humanité nouvelle en tant qu’hommes et femmes pardonnés par sa grâce et renouvelés par son Esprit.

« Le dragon [Satan] fut irrité contre la femme [c’est-à-dire l’Église], et il s’en alla faire la guerre au reste de sa descendance, à ceux qui gardent les commandements de Dieu et qui retiennent le témoignage de Jésus. »

Apocalypse 12.17

« L’Éternel renverse le conseil des nations, il anéantit les projets des peuples; le conseil de l’Éternel subsiste à toujours, et les projets de son cœur, de génération en génération. Heureuse la nation dont l’Éternel est le Dieu! Heureux le peuple qu’il a choisi pour son héritage! »

Psaume 33.10-12


Le secteur de la technologie médicale tente de conférer des droits humains à un groupe qui cherche à renier son humanité.

J’ai découvert le travail de la journaliste d’investigation Jennifer Bilek en 2020, lorsque son essai intitulé « The Billionaires Behind the LGBT Movement » [Les milliardaires à l’origine du mouvement LGBT] a été publié dans First Things1. Il s’agissait d’un article stupéfiant : plusieurs journalistes se sont engagés à dénoncer le « mouvement » transgenre (ou l’industrie, comme l’appelle Bilek), mais personne n’a épluché la façade des droits civils, des drapeaux roses et bleus et des « enfants trans » comme Bilek l’a fait. Si nous avions une presse grand public réellement engagée à mettre au grand jour et à rapporter la vérité sur les forces qui animent notre culture aujourd’hui, son travail serait cité par tous.

Bilek est une artiste, une activiste et une journaliste d’investigation basée à New York. Son travail a été publié dans Tablet Magazine, The Federalist, The Post Millennial et ailleurs. Bilek a passé sa vie à gauche, mais elle dit maintenant qu’elle est dans le « désert politique », rapportant la plus grande histoire culturelle de notre époque alors que les progressistes n’en tiennent aucun compte ou la dissimulent. Mme Bilek dirige également Jennifer’s Newsletter2 [L’infolettre de Jennifer] sur la plateforme Substack et le blogue The 11th Hour [La onzième heure], où elle explique sa démarche :

« J’écris à l’intersection de l’humanité, de la technologie et du capitalisme galopant. À cette intersection se trouve le transgenrisme, que je considère comme une campagne publicitaire de séduction générée par les élites, investies dans la technologie et la pharmacie, pour normaliser le changement de la biologie humaine.3 »

Bilek fait quelque chose que les journalistes avaient l’habitude de faire instinctivement : suivre l’argent. Ce qu’elle a découvert est une bombe qui révèle à quel point le phénomène transgenre a été créé par des donateurs LGBT super riches qui ont une stratégie sombre et sinistre. Son journalisme fournit les pièces manquantes nécessaires pour compléter le tableau et expliquer comment et pourquoi le mouvement transgenre est parvenu si rapidement à dominer la culture. Mme Bilek a aimablement accepté de nous accorder une entrevue dans laquelle elle nous fait part de ce qu’elle a découvert jusqu’à présent.

Vous avez réalisé des reportages novateurs sur la mesure dans laquelle les milliardaires ont discrètement soutenu le mouvement LGBT dans les coulisses. Dans quelle mesure les changements culturels auxquels nous avons assisté ces dernières années ont-ils été soutenus par de grands donateurs?

Les changements culturels auxquels nous assistons aujourd’hui en matière d’identité sexuelle sont largement influencés par d’énormes flux de capitaux provenant de gouvernements, de philanthropes, d’entreprises et de sociétés de gestion d’investissements et de comptabilité telles que BlackRock et Ernst & Young. Si certains pensent que l’idéologie est née dans les universités, les fonds sont dirigés vers ces institutions pour promouvoir l’idée que les identités sexuelles synthétiques sont progressistes, ce que les étudiants transmettent ensuite dans le monde.

Pour comprendre les motivations des gouvernements, des philanthropes et des grandes entreprises dans cette idéologie, nous devons examiner ses implications. L’idéologie du genre déconstruit le sexe reproducteur humain sur le plan juridique, linguistique et social, et s’attaque également aux organes reproducteurs de la plupart des jeunes en les stérilisant. Il s’agit d’une dissociation marketing de la réalité sexuée présentée comme progressiste, ce qui est particulièrement déroutant pour les jeunes qui voient leur jeunesse naturellement rebelle être utilisée comme piège par les entreprises.

L’argent et l’idéologie proviennent l’un comme l’autre du secteur de la technologie médicale, qui est lui-même intégré à la culture par le biais d’une structure philanthropique rattachée à l’appareil politique des droits civiques des LGBT. La Fondation Arcus, l’une des plus grandes ONG LGBT, joue un rôle central à cet égard, non seulement en fournissant un financement important à une pléthore d’institutions, mais aussi en introduisant un appareil de suivi appelé MAP et en encourageant les philanthropes fortunés à investir dans le groupe d’intérêt LGBT. Jon Stryker, le fondateur d’Arcus, a une formation bancaire et est l’héritier de la fortune d’entreprise qu’est Stryker Medical. Stryker Medical, avec ses projets dans le marché de la chirurgie de féminisation faciale, illustre l’interconnexion entre l’appareil politique LGBT et l’industrie médico-technique.

La famille Pritzker de Chicago est l’une des familles les plus riches des États-Unis. Bien que leur fortune soit issue de l’industrie hôtelière Hyatt, leurs investissements prédominants se situent désormais dans le secteur des technologies médicales. Leurs efforts philanthropiques colossaux en ont fait l’un des plus grands moteurs/financeurs de l’industrie du genre. Tim Gill, de la Gill Foundation — la deuxième plus grande ONG LGBT des États-Unis, liée à Jon Stryker et à sa famille — apporte également une contribution significative, venant à l’origine du secteur technologique et aujourd’hui impliqué dans une entreprise de plateforme d’intelligence artificielle domestique. Les géants de la technologie — Google, Intel, Microsoft, Facebook, Salesforce, Hewlett Packard et Amazon — utilisent leur puissance financière à la fois pour financer cette industrie de la dissociation corporelle et pour intimider des États entiers afin qu’ils acceptent l’idéologie en menaçant de retirer leurs capitaux. C’est ce qu’ils ont fait en 2016, en signant un mémoire d’amicus curiae4 contre la Caroline du Nord. Après cela, l’État a insisté sur l’intimité des toilettes pour les garçons et les filles dans les écoles.

La prolifération rapide de cette idéologie est attribuée à une énorme pression financière et à la censure des critiques par les médias grand public, qui s’alignent sur la propriété des médias par l’industrie médico-technique. L’imbrication de conglomérats tels que Hearst, Condé Nast et Disney avec d’importantes plateformes pharmaceutiques contribue à l’influence omniprésente du complexe technomédical aux États-Unis.

Les industries technologiques et médicales prospèrent, comme toutes les industries, en créant et en compartimentant de nouveaux produits, une tendance observée dans le mouvement des droits civiques des LGBT, qui était à l’origine un mouvement populaire devenu corporatiste lors de la crise du SIDA dans les années 80. Le transsexualisme américain, enraciné dans l’établissement médical, remonte aux années 1950, avec l’assaut médical contre les organes reproducteurs. La communauté LGBT s’est transformée en un groupe d’investissement et de marketing rentable après la crise du SIDA. L’ajout du transsexualisme, renommé « transgenrisme » à des fins de marketing, introduit une nouvelle perspective sur les identités sexuelles, normalisant davantage le détachement de l’humanité de ses racines fondamentales dans la reproduction sexuelle.

Comment les grandes fortunes ont-elles influencé la trajectoire et l’influence du mouvement transgenre?

Je préfère qualifier ce phénomène d’industrie plutôt que de mouvement. L’accent est mis sur la création de simulacres synthétiques des caractéristiques reproductrices humaines, commercialisés à des fins de profit et d’ingénierie humaine. Contrairement à un véritable mouvement de défense des droits de l’homme pour les personnes marginalisées, les caractéristiques sexuelles synthétiques sont une illusion forgée par des entreprises. Les personnes qui les adoptent pour tenter de rejeter la réalité ne sont pas marginalisées et ne constituent pas non plus une sous-catégorie du sexe reproducteur de notre espèce.

Le terme « transgenre » ne signifie rien en ce qui concerne les personnes. Il n’a pas de définition claire et universellement acceptée, et englobe des significations diverses et souvent contradictoires. Il tente de couvrir un large spectre, allant des agressions médicales affectant des organes reproducteurs sains aux expressions non médicales de sentiments à l’égard des stéréotypes sexuels, impliquant parfois une intervention chirurgicale et des médicaments, parfois non. S’agit-il d’un fétiche sexuel ou d’une forme de résistance contre les normes comportementales assignées par la culture et fondées sur le sexe? Le concept d’une communauté homogène appelée « transgenre » est tout aussi insaisissable; au lieu de cela, le « transgenrisme » apparaît comme un conglomérat mû par les pressions des entreprises, qui préparent les adultes et, plus significativement, les enfants à la dissociation industrielle de leur corps, devenu un commerce florissant.

Alimentée par des capitaux supplémentaires provenant d’investisseurs et de philanthropes, une industrie dédiée à la dissociation du corps sexué a connu une croissance explosive. Des personnes qui ne comprennent peut-être pas pleinement la nature de cette industrie en tirent profit. Des personnalités comme Whoopi Goldberg sont associées à des agences de mannequins qui s’adressent à ceux qui tentent de se dissocier de leur sexe. Des artistes prennent des images d’individus aux identités sexuelles synthétiques; des émissions télévisées mettent en scène des personnages qui tentent de se dissocier socialement et médicalement de leur réalité sexuée; et des cabinets d’avocats tirent profit des procès impliquant des personnes qui veulent renier leur sexe ou protéger la catégorie juridique du sexe.

La propagande générée par ce flux de revenus a profondément ancré l’idéologie de la « transition sexuelle » sur le marché. Une simple recherche sur Google de « couvertures de magazines transgenres en 2020 » révèle une abondance de magazines véhiculant un message uniforme. Il est intéressant de noter que ces publications font partie de conglomérats disposant de plateformes et d’investissements dans le domaine des technologies médicales et bénéficiant du soutien de sociétés de gestion d’actifs telles que BlackRock.

Quels sont les principaux objectifs et les principales motivations de ceux qui investissent leur argent dans les organisations LGBT?

Les principaux catalyseurs de l’industrie du genre sont enracinés dans les développements technologiques associés à un marché effrené. Les identités médico-sexuelles, ainsi que la reproduction technologique, sont au premier plan des tentatives visant à faire progresser notre espèce au-delà de nos frontières humaines actuelles. L’association stratégique d’un programme visant à déconstruire le sexe reproducteur et d’un mouvement de défense des droits civiques centré sur l’attirance pour les personnes de même sexe relève du pur génie — un renard métaphorique dans le poulailler, mais déguisé en poule.

Nous sommes à la veille de percées dans les domaines du génie génétique, de l’intelligence artificielle (IA) et de la reproduction artificielle, qui constituent autant d’industries importantes. La convergence de ces domaines indique une trajectoire vers un avenir qui transcende notre état humain actuel. Depuis le début des années 2000, les médias et les gourous de la technologie issus de la Silicon Valley ont alimenté un récit prédisant une fusion plus intégrale de l’homme et de l’IA, envisageant la création d’une espèce hybride. Le marché florissant de la procréation assistée, déjà évalué à 27 milliards de dollars, s’inscrit dans une tendance plus large qui consiste à considérer l’intérieur du corps humain comme un environnement commercial lucratif. Avec le développement d’injections capables de modifier notre ADN, il existe un potentiel apparent de rentabilité dans le traitement du corps humain, des fœtus et des organes reproducteurs des femmes en tant que canevas pour des interventions technologiques. L’industrie de la reproduction technologique semble annoncer un avenir dans lequel la reproduction sans copulation ni gestation pourrait être la norme. Le récit de l’identité de genre sert ces entreprises de marketing en réduisant notre humanité entièrement sexuée à l’état de marchandise.

Qui sont les principaux contributeurs au mouvement transgenre?

Gilead Sciences apparaît comme l’un des principaux soutiens des questions LGBT, avec d’autres contributeurs notables, notamment les fondations Open Society de George Soros, Gill, Arcus, Ford, Astraea, Tides, Evelyn et Walter Haas, David Bohnett, Wells Fargo et Pride. Ces entités sont d’importants bailleurs de fonds de la stratégie visant à déconstruire le sexe reproducteur humain. La Fondation Arcus, soutenue par les actions des fondateurs dans la société médicale de 130 milliards de dollars, étend son soutien à des organisations telles que la Fondation Astraea, et joue un rôle central dans la création d’une infrastructure politique. Cette infrastructure soutient des organisations telles que le GLSEN, qui introduit l’idéologie du genre dans les écoles, et le GLAAD, qui est chargé de façonner le discours des médias sur cette industrie en la promouvant comme un « droit de l’homme ». Le financement soutient également l’Institut Victory, qui forme des leaders à des rôles politiques susceptibles d’influencer les politiques de soutien à l’industrie. MAP est une autre fondation qui suit le financement philanthropique cultivé par ces organisations.

Martine Rothblatt est une autre figure influente de cette transformation sociétale. Anciennement connue sous le nom de Martin, Rothblatt a adopté des simulacres synthétiques de l’humanité entièrement sexuée des femmes et s’identifie désormais comme une femme. Se décrivant lui-même comme un « transhumain », Rothblatt plaide en faveur d’une augmentation humaine qui remette en question les concepts traditionnels du sexe. Il plaide notamment pour la fusion des humains avec l’IA, la réalité virtuelle, la reproduction technologique et d’autres technologies transformatrices. Avec d’autres avocats transsexuels, Rothblatt a rédigé le premier « projet de loi sur le genre », qui vise à garantir les droits des personnes qui subissent des augmentations pour modifier leur réalité physique. Rothblatt a été encadré par Ray Kurzweil, de Google, et par William Sims Bainbridge, directeur du programme des systèmes cyberhumains de la Fondation nationale des sciences.

Alors que les organisations LGBT reçoivent d’énormes quantités d’argent de la part de bailleurs de fonds, comment les petits groupes de base peuvent-ils riposter?

Tout d’abord, il est essentiel d’informer les gens sur les investissements financiers substantiels qui sont consacrés à un groupe d’intérêt illusoire. Il n’y a pas de personnes « transgenres », alors, que soutiennent exactement ces fonds? Ils alimentent un effort visant à conférer des droits humains à une partie de la population qui cherche à renier son humanité — un concept qui mérite un examen plus approfondi. En recadrant le récit, des droits de l’homme pour les marginalisés aux droits pour ceux qui tentent de renier leur humanité, nous pouvons offrir une nouvelle perspective. Dans ce contexte, les droits liés au genre servent de base politique au discours naissant sur les droits entourant l’intelligence artificielle (IA) ou les cyborgs5 à leurs premiers stades.

Il est tout aussi important de se réapproprier le langage. Chaque fois que nous utilisons des termes fabriqués de toutes pièces comme « transgenre », « identité de genre » ou « utilisation correcte des pronoms », nous renforçons par inadvertance la notion de personnes existant en dehors des limites du sexe biologique de notre espèce. Il est essentiel de privilégier la clarté plutôt que la rapidité de la communication6. Plutôt que de répondre aux questions comme si le terme « transgenre » était une véritable catégorie, une approche plus efficace consiste à s’interroger sur sa signification, en remettant en question la compréhension supposée. De même, interrompre l’interlocuteur et recadrer des déclarations telles que « personnes trans » en suggérant : « Voulez-vous dire des personnes qui tentent de renier leur réalité sexuelle? » peut modifier le discours.

Enfin, le changement ne peut se faire de manière isolée. Que ce soit en organisant un effort collectif ou en travaillant individuellement, il est impératif d’agir. Tirez parti de vos forces, exprimez la vérité de manière inébranlable et résistez à la tentation de vous laisser amadouer. Cette industrie prédatrice a jeté son dévolu sur la prochaine génération, exigeant que même ceux qui ne sont pas familiers avec l’activisme avancent dans la même direction. La vérité, ancrée dans la réalité biologique, est notre meilleure alliée, soutenue par l’ensemble du monde vivant7.

Notes

1. Jennifer Bilek, « The Billionaires Behind the LGBT Movement » [Les milliardaires à l’origine du mouvement LGBT], First Things, 21 janvier 2020.

3. Jennifer Bilek, « About this Blog » [À propos de ce blogue], The 11th Hour.

4. NDT : D’après Wikipédia, « En droit, un amicus curiae est une personnalité ou un organisme, non directement lié aux protagonistes d’une affaire judiciaire, qui propose au tribunal de lui présenter des informations ou des opinions pouvant l’aider à trancher l’affaire, sous la forme d’un mémoire (un amicus brief), d’un témoignage non sollicité par une des parties, ou d’un document traitant d’un sujet en rapport avec le cas. »

5. NDT : D’après Wikipédia, « un cyborg (de l’anglais “cybernetic organism”, traduisible par “organisme cybernétique”) est un être humain — ou à la rigueur un autre être vivant intelligent, en science-fiction — qui a reçu des greffes de parties mécaniques ou électroniques ».

7. NDT : Afin de poursuivre la réflexion sur la montée du « transgenrisme » et de donner aux chrétiens des outils supplémentaires pour savoir exprimer la vérité, enracinée dans la réalité biologique et révélée dans les Écritures, le lecteur pourra consulter avec profit la section « transgenrisme » de notre bibliothèque contenant plusieurs articles sur le sujet.