Éphésiens 6 - On prie ou on est mal pris
Éphésiens 6 - On prie ou on est mal pris
« Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur et par sa force souveraine. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les pouvoirs, contre les dominateurs des ténèbres d’ici-bas, contre les esprits du mal dans les lieux célestes. C’est pourquoi prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour et tenir ferme après avoir tout surmonté. Tenez donc ferme : ayez à vos reins la vérité pour ceinture; revêtez la cuirasse de la justice; mettez pour chaussures à vos pieds les bonnes dispositions que donne l’Évangile de paix; prenez, en toutes circonstances, le bouclier de la foi, avec lequel vous pourrez éteindre tous les traits enflammés du Malin; prenez aussi le casque du salut et l’épée de l’Esprit, qui est la Parole de Dieu. Priez en tout temps par l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications. Veillez-y avec une entière persévérance. Priez pour tous les saints et aussi pour moi : que la parole, quand j’ouvre la bouche, me soit donnée pour faire connaître avec hardiesse le mystère de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes; et que j’en parle hardiment comme je dois en parler. »
Éphésiens 6.10-20
- Premièrement, il nous dit de « prier en tout temps »
- Deuxièmement, Paul nous dit de « prier par l’Esprit »
- Troisièmement, priez « avec toutes sortes de prières et de supplications »
- Quatrièmement, « veillez-y avec une entière persévérance »
- Cinquièmement, Paul nous dit : « Priez pour tous les saints »
- Pour poursuivre la méditation
On prie ou on est mal pris. On prie ou on plie. On plie devant qui? On plie devant les dominateurs des ténèbres, les esprits du mal, le diable, le Malin, cette mafia satanique qui ne prend jamais de vacances, dont le but est de bousiller complètement notre vie et de nous détruire. Mais nous ne voulons pas plier devant eux; il faut donc prier. Il faut prier!
L’heure est venue de compléter cette série de huit prédications sur les armes que Dieu donne à ses enfants pour tenir ferme contre les manœuvres du diable.
Le sujet de la prière est comme le crescendo à la fin de l’hymne éphésien de Paul. Oui, Dieu nous donne des armes puissantes et tout à fait adéquates pour que nous puissions repousser l’ennemi. Mais attention! La prière doit accompagner toute notre lutte spirituelle.
C’est pourquoi l’apôtre Paul écrit ces versets 18 à 20. Si nous décortiquons un peu ces versets 18 à 20, nous nous rendons compte que Paul mentionne cinq facettes de la prière qui se rapportent à la guerre spirituelle.
1. Premièrement, il nous dit de « prier en tout temps »⤒🔗
Jésus avait enseigné la même chose, en Luc 18.1 : « Il faut toujours prier et ne pas se lasser. »
« Priez en tout temps. » Pourquoi? Parce qu’en tout temps nous avons besoin de la force de Dieu. En tout temps. Nous en avons tellement besoin!
Des théologiens réunis en assemblée ont demandé un jour à une jeune servante si elle savait ce que veut dire « prier en tout temps ». Écoutez bien sa réponse.
« Oui, je sais ce que cela veut dire. Quand je me lève le matin, je prie que le Soleil de justice se lève avec la guérison dans ses ailes pour moi aujourd’hui. Quand je m’habille, je prie que je puisse être revêtue de la justice de Jésus-Christ. Quand j’époussetais la poussière dans cette chambre tout à l’heure avant que vous arriviez, je priais le Seigneur d’épousseter mon cœur pour qu’il soit propre et pur grâce au sang de Jésus. Quand je vous ai apporté un goûter et des rafraîchissements, j’ai prié que Jésus soit ma nourriture et mon breuvage. Messieurs, je prie ainsi chaque jour, à longueur de journée; prier, c’est ma respiration, c’est ma vie. »
Pour prier en tout temps, il faut évidemment reconnaître notre impuissance à affronter l’ennemi qui est beaucoup plus fort que nous. Le christianisme, ce n’est pas apprendre beaucoup de vérités dans le but de ne plus avoir besoin de Dieu; c’est apprendre à nous appuyer de plus en plus sur le Seigneur et sur sa force souveraine.
La prière, c’est apporter notre impuissance à Jésus. Les paroles « ils n’ont plus de vin », en Jean 2.3, sont dans une certaine mesure une description de ce qu’est la prière. « Nous sommes impuissants; Seigneur, viens à notre secours! Nous n’avons pas ce qu’il faut. »
Jean 2 : ils n’avaient plus de vin. Jean 3 : Nicodème n’avait pas la vie nouvelle. Jean 4 : la Samaritaine n’avait pas d’eau. Jean 4 : le fils d’un officier royal n’avait pas la santé. Jean 5 : le paralytique de la piscine de Béthesda n’avait pas d’aide. Jean 6 : la foule n’avait pas de pain. Jean 9 : l’aveugle n’avait pas la vue. Jean 11 : Lazare n’avait pas la vie.
Pour vivre la vie chrétienne et tenir ferme contre le Malin, nous devons commencer par reconnaître que sommes impuissants. Nous n’avons pas ce qu’il faut. Alors, la prière prend tout son sens. Parce que la prière nous connecte avec Dieu et avec sa force souveraine. Nous ne pouvons pas vivre la vie chrétienne par nos propres forces. Par la prière, nous appelons Dieu à notre secours et nous lui exposons nos besoins. Et il vient à notre secours!
Le Seigneur ne veut pas que nous nous appuyions sur nos propres forces, nos capacités et nos plans. Quand comprendrons-nous que nous ne sommes que faiblesse? Le Seigneur ne veut pas que nous ayons confiance en nous-mêmes; il veut que nous ayons confiance en lui. Notre propre force ne nous aidera pas plus à tenir debout que ne le pourrait un roseau cassé.
Si nous pensons que nous pouvons vivre la vie chrétienne et repousser l’ennemi par nos propres forces, nous ne prendrons pas la prière au sérieux. La confiance en nous-mêmes tue la prière. Ne pas prier, c’est dire : « Je peux vivre ma vie sans Dieu. » On peut devenir athée en pratique, en vivant comme si Dieu n’était pas nécessaire.
Nous avons de la difficulté à nous avouer impuissants, beaucoup de difficulté! Nous préférons penser que nous savons ce qu’il faut faire. Nous sommes allergiques au sentiment d’être impuissants. Nous n’aimons pas ça. Nous voulons tout le temps tout contrôler. Un analyste de la société a dit cette semaine : « Le monde moderne est traversé par un immense sentiment de supériorité » (Mathieu Bock-Côté). Ce sentiment contamine également les chrétiens. Nous avons confiance en nos propres capacités. Nous pensons pouvoir tout gérer tout seuls. « Un immense sentiment de supériorité. »
Pour nous délivrer de cette illusion-là, le Seigneur tout sage se sert parfois de la souffrance. On pourrait dire dans un sens que la souffrance est très importante dans le processus d’apprentissage de la prière. C’est le don de Dieu pour nous montrer notre faiblesse immense et nous pousser à avoir recours à sa force.
L’ego humain présume qu’il est autosuffisant et maître de lui-même, et il s’imagine en sécurité. Dieu taille des déserts pour chacun de nous. C’est un remède contre l’idolâtrie de notre moi. Le désert produit le sentiment d’impuissance qui est si essentiel à l’esprit de prière. Vous vous retrouvez face à face avec votre incapacité. La vie du désert est sanctifiante. Nous finissons par être attentifs à Dieu parce qu’il n’y a personne d’autre que lui qui peut nous aider.
Donc, premièrement, priez en tout temps, parce qu’en tout temps vous avez besoin du Seigneur, le Seigneur qui a dit : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jn 15.5).
2. Deuxièmement, Paul nous dit de « prier par l’Esprit »←⤒🔗
« Priez par l’Esprit », c’est-à-dire sous la direction de l’Esprit, guidés par lui, avec son assistance, en harmonie avec lui. Prier par l’Esprit, c’est prier selon la volonté et les buts de l’Esprit. Prier par l’Esprit, c’est nécessairement prier selon la Parole de Dieu.
Dans son épître aux Éphésiens, l’apôtre Paul parle de l’Esprit une douzaine de fois. Paul dit que l’Esprit nous révèle le mystère de l’Évangile (Ép 3.5). Il nous fortifie puissamment dans notre être intérieur (Ép 3.16). Il renouvelle notre intelligence (Ép 4.23). Il veut nous remplir (Ép 5.18). Il nous donne l’épée qui est la Parole de Dieu (Ép 6.17).
Je trouve fascinant qu’aux versets 19 et 20, l’apôtre Paul demande aux chrétiens d’Éphèse qu’ils prient pour lui. Paul est suffisamment sage pour être conscient de son propre besoin de force face à l’ennemi, et suffisamment humble pour demander à ses amis de prier pour lui. Avez-vous cette sagesse et cette humilité?
Quelle est sa requête principale? Veut-il que ses frères et sœurs prient pour qu’il soit libéré de prison au plus vite? Non! Ce n’est pas ce qu’il demande. Regardez bien ces versets 19 et 20 :
« Priez pour moi : que la parole, quand j’ouvre la bouche, me soit donnée pour faire connaître avec hardiesse le mystère de l’Évangile, pour lequel je suis ambassadeur dans les chaînes; et que j’en parle hardiment comme je dois en parler. »
Paul veut communiquer un message clair et courageux. Il a le souci de ne pas obscurcir l’Évangile par des discours confus, et de ne pas le voiler par de lâches compromissions. Au fond, il désire que Dieu soit glorifié. C’est toujours ce que désire la personne qui prie par l’Esprit : glorifier Dieu.
Prier par l’Esprit nous délivre de notre égoïsme. Nous prions pour les bonnes choses qui honorent notre Sauveur, comme Paul le fait ici.
3. Troisièmement, priez « avec toutes sortes de prières et de supplications »←⤒🔗
C.S. Lewis a écrit un livre intitulé : Tactique du diable — Lettre d’un vétéran de la tentation à un novice. Il imagine un démon en train de former un autre démon. Voici un petit extrait :
« La meilleure tactique sera d’empêcher ton protégé de prendre sérieusement la résolution de prier. La façon la plus simple de vaincre les chrétiens, c’est de détourner leurs regards de Dieu et de les orienter sur eux-mêmes. »
Pour n’avoir pas veillé et prié, les apôtres sont tombés et ont abandonné Jésus. Ils ont fait l’amère expérience de la lâcheté et du reniement. Aujourd’hui, les mêmes causes engendrent les mêmes effets. Par la prière, nous nous appuyons sur le Seigneur et il renouvelle nos forces. Sans la prière, nous sommes trop faibles et trop chancelants pour tenir ferme contre les puissances du mal.
Si vous alliez faire examiner votre vie de prière par un « médecin de la prière », que trouverait-il? Dirait-il : « Tout est beau. Votre vie se caractérise par toutes sortes de prières et de supplications. Merveilleux! Continuez comme ça! »? Ou bien dirait-il : « Vous avez un problème. Votre vie de prière est très dysfonctionnelle! Vous avec besoin d’aide. »
La prière donne au chrétien la force, le réconfort et des bénéfices incomparables. Pas étonnant alors que le diable utilise toute la puissance et la subtilité à sa disposition malicieuse pour nous empêcher de prier ou pour troubler notre vie de prière!
Le diable suggère autant d’autres activités que possible, divertissant nos pensées ailleurs, et nous incitant à remettre la prière à plus tard, nous persuadant de faire autre chose en premier. Une fois qu’il nous a détournés de la prière, il nous convainc de passer d’une chose à une autre; et si vous le suivez sur cette route, vous ne prierez pas. Soyez sur vos gardes, sachant que votre ennemi mortel, le diable, vous poursuit pour vous empêcher de prier.
Dieu n’accorde pas grand-chose à ceux qui se contentent d’une mini-priette à l’occasion. Il faut du temps pour réellement communier avec Dieu. C’est quelque chose de profond. Ça ne doit être ni bâclé ni précipité.
Parfois, le diable vous suggère d’attendre pour prier, d’attendre que vous ayez du temps, plus tard, un jour peut-être. Mais c’est aujourd’hui, maintenant, qu’il faut faire beaucoup de place à la prière dans notre vie. La prière est source d’une paix très profonde et de véritables libérations. Prier, c’est se reposer dans le cœur de Dieu. Prier, c’est se réserver un temps d’approfondissement, d’ancrage. La personne qui prie puise toutes ses ressources dans son intimité avec Dieu. Notre repos est entier quand nous sommes aux pieds du Seigneur. Dans la prière, nous retrouvons la vigueur que nous n’avions plus. Prier ne nous offre pas une vie moins chargée, mais un cœur moins chargé. Au milieu des occupations extérieures, la prière crée une tranquillité intérieure. Nos vies deviennent plus calmes, même au milieu de toutes sortes de pressions. Comme dit Ésaïe : « Éternel, nous espérons en toi. Sois notre aide chaque matin, et notre délivrance au temps de la détresse! » (És 33.2).
Dans la guerre spirituelle, la prière n’est pas un petit complément, un mini-appendice à notre vie, un petit condiment pour assaisonner la nourriture, « une petite prière avec ça? ». La prière est de toute première importance.
« Toutes sortes de prières et de supplications », dit Paul. Avec plus de vraies prières, Dieu vous donnera plus de forces pour tenir ferme contre le Malin. Quand on y pense bien, c’est tellement relaxant de s’en remettre complètement au Seigneur tout-puissant en tout temps et pour tout!
4. Quatrièmement, « veillez-y avec une entière persévérance »←⤒🔗
Nos journées se déroulent parfois médiocrement parce que nous ne les commençons pas avec une prière ardente, et que nous ne nous maintenons pas dans un esprit de prière. Une vie en prière n’est pas simplement un temps de prière le matin, point; mais c’est aussi glisser dans la prière à des heures les plus inattendues de la journée, non pas parce que nous sommes particulièrement disciplinés; mais parce que nous sommes en contact avec notre propre pauvreté, et nous réalisons que nous ne pouvons pas vivre la vie chrétienne sans le Seigneur.
« Veillez-y avec une entière persévérance. »
Voici quelques phrases qu’on entend parfois de la bouche même de certains des membres du peuple de Dieu : « La prière, c’est un coup d’épée dans l’eau; qu’est-ce que ça donne? » « Je me demande parfois : Est-ce qu’on parle dans le vide quand on prie? » « Prier, c’est une pure perte de temps; tu le sais bien que ça ne donne rien. » « J’ai l’impression que chaque minute passée dans la prière est une minute de moins pendant laquelle j’aurais pu faire quelque chose de productif. »
Vous avez peut-être déjà vous-mêmes dit de telles choses. Mais sachez que de telles pensées ne viennent pas du Seigneur, elles viennent du Malin, c’est certain. Le diable suggère que la prière est inefficace, inutile et sans fruits. Il cherche à vous faire croire que Dieu n’écoute pas vraiment les prières, que tout cela est en vain. Si vous lui cédez le moindrement à ce sujet, il va réussir à handicaper gravement votre vie de prière, et il va diminuer considérablement votre ferveur et votre persévérance. Vous connaissez maintenant cette ruse diabolique; alors, redoublez de vigilance et de zèle. Appuyez-vous sur les promesses de Dieu, et souvenez-vous toujours que, si Dieu écoute nos prières, c’est parce que lui-même a institué ce moyen pour nous bénir en son temps, à sa manière et dans la mesure que lui seul le veut.
Dire : « La prière ne marche pas » signifie souvent : « Dieu n’a pas fait ma volonté, à ma façon, en mon temps. » Nous avons besoin de tourner le dos à cet égoïsme ravageur.
5. Cinquièmement, Paul nous dit : « Priez pour tous les saints »←⤒🔗
Tous les saints, c’est-à-dire tous les chrétiens. Bien-aimés, nous ne sommes pas seuls à combattre. Écoutez bien l’apôtre Pierre : « Résistez au diable, fermes en la foi, et sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde » (1 Pi 5.9). Si chaque soldat faisait la guerre en franc-tireur, pour son propre compte, il n’y aurait ni armée ni victoire. Dans la guerre spirituelle, nous devons penser constamment à ceux qui ont besoin d’être soutenus par notre intercession. Diminuons un peu nos prières égoïstes et apprenons à intercéder pour nos camarades soldats et soldates.
Paul ne parle pas que d’un combat entre un chrétien individuel et Satan, mais d’une guerre entre le peuple de Dieu et les puissances des ténèbres. Nous avons une cause commune, et tous doivent prier pour tous. « Priez pour tous les saints. » Si vous voulez que vos frères et sœurs tombés se remettent sur pied, mettez-vous à genoux et priez! Si vous voulez que ceux qui sont engourdis ou endormis spirituellement se réveillent, priez pour eux! Si vous voyez des frères et des sœurs qui dérivent dans la vie en se droguant au narcotique de s’occuper à toutes sortes de futilités, priez pour eux! Priez pour tous les saints!
Les besoins de nos frères et sœurs doivent nous toucher le cœur. Le réformateur Jean Calvin écrit :
« Si parfois nous sommes nonchalants à prier, parce qu’il n’y a pas de nécessité qui nous presse, souvenons-nous aussitôt de nos frères et sœurs dans la foi qui défaillent sous de pesants fardeaux et graves fâcheries, qui sont pressés de grandes angoisses dans leurs cœurs, qui sont en toute extrémité de maux. Si cette nonchalance ne peut pas être ôtée de notre cœur, nos cœurs sont de fer ou d’acier. »
Il n’y a pas un seul chrétien qui n’a pas besoin des prières des autres.
Pour conclure, j’entends régulièrement des gens s’émerveiller devant les progrès de la technologie. Mais en réalité, les plus modernes appareils inventés par les hommes sont complètement dépassés. Dépassés par quoi? Dépassés par la prière. Pour prier, je n’ai pas besoin d’acheter un bidule ou gadget quelconque qui va me soutirer de l’argent, que je vais devoir connecter, qu’il faut toujours faire attention pour ne pas le perdre ou me le faire voler ou le briser, qui va tôt ou tard être défectueux, démodé et me décevoir à répétition, et tout le reste. Non!
La prière, n’importe quand, n’importe où, je peux prier, grâce à Jésus, le Fils de Dieu qui est mort pour ceux qui croient en lui. Ça, c’est vraiment génial! Amen!
6. Pour poursuivre la méditation←⤒🔗
Lecture : Éphésiens 6.18-20. Quel est le rôle de la prière dans le combat spirituel? Quelle est sa valeur offensive? Quelles sont, selon Éphésiens 6.18-20, les caractéristiques de la prière victorieuse?
Lecture : Éphésiens 6.10-20. Priez-vous en tout temps par l’Esprit, avec toutes sortes de prières et de supplications, y veillant avec une entière persévérance? Si vous vous y mettiez, qu’est-ce qui se produirait?
Lecture : Luc 18.1; 1 Thessaloniciens 5.17. Comment la prière se situe-t-elle dans la description de l’armure de Dieu pour son peuple? Recourez-vous à Dieu par la prière sans y être contraint par l’adversité?
Lecture : Romains 12.12. Que suggère la répétition que Paul fait du mot « tout » en Éphésiens 6.18-20? Pour qui au juste Paul encourage-t-il ses lecteurs à prier? Qu’est-ce que cela implique pour l’unité des chrétiens? Qu’en est-il de ces choses dans votre vie de chaque jour?
Lecture : 1 Pierre 5.9; Éphésiens 6.18-20. Comment ces versets nous encouragent-ils à étendre notre horizon au-delà de nos batailles personnelles avec le diable?
Lecture : Colossiens 4.2; Philippiens 4.6-7; Romains 8.26-27. Comment ces versets vous aident-ils à saisir la nature de la prière?