Imaginez qu’il n’y a pas de religion [chrétienne]
Imaginez qu’il n’y a pas de religion [chrétienne]
- Les médias
- Le monde universitaire
- La sorcellerie
- Du binaire au non binaire
- Les effets culturels
- Trois événements canadiens
Jérémie a dit de l’ancien Israël :
« Ils devraient avoir honte des horreurs qu’ils commettent, mais la honte ne les atteint pas, ils ne savent plus rougir » (Jr 8.12).
Depuis les années 60, la religion païenne a imprégné notre pensée dans la société occidentale autrefois chrétienne. Ceux qui se souviennent de l’époque où nos principes moraux étaient généralement fondés sur les commandements de Dieu sont choqués par le renversement de la moralité, qui se manifeste même dans les décisions de nos plus hautes instances judiciaires. De plus en plus, nous entendons parler d’actions et de jugements « non binaires » qui relativisent la vérité et la morale. Il n’y a plus de choix entre deux opposés, il n’existe plus aucune norme externe pour déterminer ce qui est bien et ce qui est mal, il ne reste plus qu’un mélange qui correspond à nos choix personnels.
1. Les médias⤒🔗
Dans les médias, les « fausses nouvelles » (une déformation délibérée des faits pour appuyer certaines idées politiques) sont devenues la norme. Le bébé qui pleure à la frontière sud des États-Unis prouve l’inhumanité du président américain, jusqu’à ce que… nous découvrions que, selon son père, le bébé n’a jamais été séparé de sa mère, et, en outre, la mère avait abandonné trois autres enfants au Honduras pour venir faire de l’argent aux États-Unis1.
2. Le monde universitaire←⤒🔗
Dans le monde universitaire, le libre échange d’idées dans un climat de liberté d’expression, autrefois l’essence même de la vie universitaire, est souvent délibérément supprimé dans nos centres d’enseignement supérieur. Réveillez-vous, les amis! Nous envoyons nos jeunes dans ces collèges et ces universités à des frais personnels et gouvernementaux énormes, pour qu’ils soient éduqués en vue de devenir adultes. Cependant, ils entrent dans des centres idéologiques du néomarxisme culturel, de la politique identitaire et de la licence sexuelle désinhibée, qui ridiculise et réprime toute autre opinion. Les dortoirs sont devenus des bordels2 et les orgies sexuelles barbares sont la norme chez les étudiants universitaires. La semaine annuelle du sexe à l’Université Northwestern mettra en vedette Lady Sophia, une dominatrice3 de Chicago qui enseignera aux étudiants le bondage4, la discipline5 et les pratiques sadomasochistes. À la vénérable Université d’Oxford, au Royaume-Uni, une « fête annuelle présente des étudiants qui fouettent des vierges, qui font des orgies alimentées par la drogue et qui regardent des spectacles sexuels en direct ».
Sur les questions de liberté d’expression, même l’ACLU [American Civil Liberties Union ou l’Union américaine des libertés civiles], historiquement engagée dans la préservation de la liberté d’expression, commence à capituler devant la gauche antiparole, soutenant que le « progrès vers l’égalité » (qui inclut l’excès sexuel) l’emporte sur la liberté d’expression6.
Le discours sur la morale sexuelle traditionnelle (majoritairement chrétienne) ne fait plus partie de la « liberté d’expression ». Il subit une attaque en règle. La sénatrice Elizabeth Warren, candidate à l’élection présidentielle, révèle à quel point nos jugements moraux sont renversés. Warren était furieuse d’entendre les remarques suivantes de Rudolph Giuliani sur la vedette de la pornographie Stormy Daniels : « Je ne respecte pas une vedette de la pornographie comme je respecte une femme de carrière, ou une femme estimable, ou une femme qui a un grand respect pour elle-même comme femme et comme personne. Une femme qui ne vendra pas son corps à des fins d’exploitation sexuelle. » En réaction, Warren a répliqué : « Une insulte adressée à une vedette de la pornographie est une insulte à toutes les femmes.7 » Notre culture insiste sur le fait que Daniels est une noble « travailleuse du sexe », libre, comme Lady Sophia (ci-dessus), d’exercer son métier à Oxford ou dans toute autre université. Tout travail, y compris la prostitution, est un « bon » travail. La morale a disparu.
3. La sorcellerie←⤒🔗
Nous avons retiré la Bible de sa place à la table familiale, dans le salon et (surtout) dans la chambre à coucher. Nous l’avons jeté à la poubelle en nous disant bon débarras. Nous sommes maintenant libres de chercher l’autorité morale ailleurs — disons… dans la sorcellerie, pourquoi pas? David Salisbury, un sorcier autoproclamé, s’élève comme défenseur des valeurs culturelles, blâmant la NRA [National Rifle Association ou Association nationale des armes à feu] pour les récentes tueries scolaires. Lui et sept autres sorciers sont assis autour d’une table sur laquelle un chaudron est placé sur un pentacle, accompagné « d’un billet de cinq dollars peint en rouge pour symboliser le sang et d’une feuille de papier avec les énormes lettres majuscules “NRA” ». Ces sorciers participaient au rituel de la « liaison », qui consiste à jeter des sorts comme nouvelle forme de défense des valeurs culturelles. Salisbury jette stridemment des malédictions sur ceux qu’il qualifie de « marchands de mutilations, profiteurs de douleur, marchands de morts », qui « s’engraissent du sang des innocents et festoient comme des démons sur leurs corps! » Il continue en disant : « Que vos pensées et vos prières se transforment en poison dans votre bouche.8 » Les sorciers et sorcières s’élèvent comme des modèles de vertu morale, bien que l’on ne tienne aucun compte de leur pratique du sacrifice humain9.
Pour ne pas être en reste, le Brotherhood of the Unnamed Path [la Fraternité du Sentier non nommé] offre aussi une solution morale. Sa source pour déterminer la morale est « une tradition spirituelle révélée à ses membres par les ancêtres des hommes qui aiment les hommes, qui emploient des techniques séculaires pratiquées dans le monde entier qui favorisent les relations avec le divin, avec les ancêtres, avec les esprits du monde et entre eux ». Ces Frères se lèvent, moralement indignés, pour s’opposer à la séparation des enfants et des parents à la frontière sud des États-Unis : « Nous nous opposons à ces politiques dictées et appliquées par le procureur général et l’administration actuelle. Nous condamnons avec la plus grande fermeté la justification de ces actions par des déclarations des Écritures religieuses ou par l’évocation de la nécessité d’intimider et de provoquer la peur.10 » Ces spiritualistes, par leurs choix sexuels, rejettent la possibilité même d’avoir des enfants, mais se présentent publiquement comme les défenseurs moraux des enfants.
4. Du binaire au non binaire←⤒🔗
Dans la restructuration de notre culture, le christianisme ne définit plus la morale. En fait, la notion même de moralité a changé. Un nouveau type de pensée est envisagé, il s’agit d’une approche « non binaire », qui élimine les distinctions claires. « Binaire », qui signifie « deux », met l’accent sur des définitions claires, alors que « non binaire » considère tout comme relatif. Dans notre ministère TruthXchange, nous utilisons les termes « monisme » [« Oneism »] (la fusion de toutes les distinctions) et « binarité » [« Twoism »] (l’acceptation des distinctions créées par Dieu). Concernant la sexualité, notre culture ne considère plus l’homme et la femme comme essentiels; concernant la spiritualité, notre culture fusionne Dieu et la nature en un tout spirituel vague. Cette pensée est répandue et provient de l’invasion de la spiritualité et de la moralité orientales. Les sociologues parlent de l’orientalisation de l’Occident, « tout à fait différente de tout ce que l’on a connu auparavant11 ». « Comme un grand nombre d’Américains sont arrivés à adopter la vision du monde de l’hindouisme », dit le sociologue Phillip Goldberg, auteur de American Veda, ce changement est comparé « en puissance aux grands réveils chrétiens du 18e siècle12 ». Goldberg dit que l’on demande désormais à tous de croire à la voie « Advaita » hindoue. « Advaita » en sanskrit signifie « non deux ». Autrement dit, rien n’est « binaire ». Rien n’est dualiste! Dans ce monde, le christianisme n’a pas sa place. Il est possible d’identifier très précisément de quelle façon ce changement de mentalité s’est produit.
Les techniques orientales de la spiritualité Advaïta exigent une autre façon de penser. Quand les Occidentaux dépensent des milliards de dollars dans la poursuite et la pratique du yoga hindou et de la méditation bouddhiste de pleine conscience, avec le plein appui du populaire Dalaï-Lama, nous pouvons être sûrs que la culture sera profondément changée. Les pratiques de pleine conscience ont récemment explosé en Occident. Les magazines en font étalage, les célébrités ne jurent que par elle, les scientifiques l’étudient, les moines la pratiquent encore et les chefs d’entreprise l’utilisent pour soulager leur stress13 (par exemple Mark Zuckerberg de Facebook, Steve Jobs de Apple et Jeff Weiner, fondateur de LinkedIn). Apple, Google et Nike offrent des salles de méditation qui encouragent de brèves séances de méditation pendant la journée de travail, bien qu’une étude récente montre que la pleine conscience est démotivante pour les employés, donc ça ne marche pas toujours!
5. Les effets culturels←⤒🔗
Voici la preuve de ses effets.
Christine Chandler, psychothérapeute de formation, était une disciple du bouddhisme tibétain qui a pratiqué la méditation de pleine conscience pendant des heures chaque jour pendant presque trente ans. Dans son livre Enthralled : The Guru Cult of Tibetan Buddhism [Charmé : Le culte gourou du bouddhisme tibétain], elle fournit un témoignage incontestable et objectif des effets d’une telle pratique sur l’esprit.
La simple méditation de la pleine conscience demande au débutant occidental d’arrêter de penser, d’arrêter d’analyser le bien et le mal, et de vivre dans l’instant pour soulager le stress. Cependant, plus on s’enfonce dans la conscience, sous l’instruction des lamas (saints hommes), plus on apprend que l’intention réelle de la conscience est de montrer, comme le bouddhisme l’a toujours cru, que le monde est « juste une illusion » (100). Finalement, le moi et l’autre doivent être détruits (36) par la « logique ésotérique de la non-dualité » (37). La « non-dualité » est une autre façon de se référer au « non binaire » mentionné précédemment. Dans cette logique, « les faits n’existent pas » (14), « le mensonge est permis » (8) et « l’histoire n’est pas réelle » (9). Christine Chandler a finalement réalisé que « les lamas peuvent faire ce qu’ils veulent, parce qu’ils demeurent déjà dans un état de non-dualité » (xxii). Ils enseignent que l’usage de la raison est « l’obstacle à la compassion et à l’illumination » (17), que « les jugements moraux sur le bien et le mal […] sont l’ennemi » et que « la bonté fondamentale […] dépasse tout jugement du bien et du mal » (xxi). Elle y voit une manipulation du langage au service du pouvoir spirituel. En outre, le but ultime de la pleine conscience, que Chandler, en tant que non-chrétienne, ne voit pas, est le but classique du bouddhisme qui consiste à nier l’objectivité de la réalité créée et son rôle de rendre témoignage à Dieu, le Créateur de la réalité.
Chandler se rend compte, cependant, que cette façon de penser et cette pratique spirituelle deviennent une forme de lavage de cerveau, ce qu’elle a elle-même finalement vécu. Elle a quitté le groupe après presque trente ans, ayant compris que « notre esprit de raisonnement, notre objectivité et notre capacité à juger commencent à s’éteindre lentement » (102). « Une partie de mon esprit s’était définitivement endormie pendant près de trente ans », dit-elle (104). Sa conclusion est que la méditation de la pleine conscience est le « contrôle de l’esprit », et que « si l’on peut diminuer la capacité de raisonner et de penser objectivement […] l’on peut éventuellement affaiblir le fondement de la civilisation occidentale… » (préface). Telle est, selon elle, l’intention du bouddhisme oriental.
Comment le projet fonctionne-t-il?
6. Trois événements canadiens←⤒🔗
J’étais récemment en Ontario, au Canada. Si le Canada est un exemple de ce qui se passera partout en Occident, les chrétiens seront bientôt exclus de tout rôle culturel important. Il est clair qu’il est arrivé quelque chose à la civilisation occidentale qui fait du christianisme une menace dangereuse, qui doit être criminalisée et éliminée. La pleine conscience est partout dans la culture canadienne et reçoit la faveur des tribunaux.
Trois événements se sont distingués :
1. Le Huffington Post montre des photos de vingt policiers en uniforme vestimentaire, assis sur des tabourets de prière, en pleine méditation dans un temple bouddhiste14. Ces agents du service de police régional de Peel, en Ontario, étaient au temple pour une conférence sur la méditation de la pleine conscience et la philosophie bouddhiste. Le moine Bhante Saranapala a observé avec satisfaction : « Ils étaient très gentils, ils ont aimé et ils pensent que ça devrait faire partie de leur pratique quotidienne. » Mais comment les professionnels de l’application de la loi, formés aux lois « binaires » occidentales du bien et du mal, vont-ils faire leur travail de policiers en utilisant les principes « non binaires » de la spiritualité bouddhiste? Peuvent-ils donner une « fausse » contravention pour mauvais stationnement portant la mention « coupable et non coupable » afin d’éviter le stress?
2. Le Canadien Bill Whatcott, militant profamille et antiavortement de longue date, a été informé à la mi-juin 2018 qu’un mandat d’arrestation criminel national avait été émiscontre lui15. Il est recherché pour un crime de « discours haineux » qui a été perpétré il y a deux ans à Toronto! Son crime de « discours de haine » consistait à distribuer des tracts présentant l’Évangile et la vérité biblique sur l’homosexualité lors du défilé de la fierté homosexuelle à Toronto en 2016. Les autorités ont dû réfléchir longtemps avant d’inventer ce crime, pour lequel il risque au moins deux ans de prison.
3. Également en juin 2018, la Cour suprême du Canada a rendu une décision concernant une affaire contre un collège chrétien, la Trinity Western University (TWU) de Langley, en Colombie-Britannique16. En 2012, Trinity Western avait annoncé son intention d’ouvrir une faculté de droit. Les barreaux de la Colombie-Britannique, de l’Ontario et de la Nouvelle-Écosse s’y sont opposés parce que l’école exigerait que les étudiants signent un pacte limitant les relations sexuelles à celles entre un homme et une femme à l’intérieur d’un mariage légitime. Le pacte obligatoire de la TWU exige une vie chrétienne sainte, définie de façon classique, « caractérisée par l’humilité, l’abnégation, la miséricorde et la justice, et la soumission mutuelle pour le bien des autres ». Il exige des membres qu’ils s’abstiennent d’utiliser un langage vulgaire, de mentir ou de tricher, de voler, d’utiliser du matériel dégradant comme la pornographie et « l’intimité sexuelle qui viole le caractère sacré du mariage entre un homme et une femme ».
La Cour a déclaré que les diplômés en droit de Trinity qui suivent ainsi ce modèle pour leur vie ne seraient pas reconnus comme des avocats valides. Trinity a fait appel de cette décision pour des motifs de discrimination religieuse. La semaine dernière, alors que j’étais là-bas, la Cour suprême du Canada a conclu, dans une décision de 7 contre 2, que la tolérance à l’égard des LGBTQ17 était requise de la part de la TWU, mais que la communauté LGBTQ n’avait pas à tolérer les droits constitutionnels des chrétiens, qui pouvaient être bafoués. La Cour a déterminé que les droits des LGBTQ et la pensée sexuelle moniste non binaire étaient primordiaux pour « l’intérêt public » et exigeaient la violation des droits religieux et des principes moraux bibliques, refusant ainsi aux chrétiens de pratiquer librement le droit selon les principes bibliques binaires ou dualistes. Selon Michael Brown, « la Cour a statué que le christianisme et l’enseignement supérieur sont incompatibles18 » et que tout chrétien vivant de cette façon au Canada constitue une menace pour la culture. « Le jugement majoritaire a dit que le pacte dissuaderait les étudiants LGBT de fréquenter l’école de droit en question, et que ceux qui la fréquenteraient risqueraient de subir un préjudice important. » Le préjudice important serait l’exposition à la vérité chrétienne au sujet de la sexualité qui n’a pas la permission de s’épanouir dans les cultures modernes se prétendant civilisées.
Les chrétiens canadiens ont conclu : « Il reste peu de place dans notre culture politique pour que les institutions religieuses puissent participer pleinement et équitablement à la vie publique, puisque leurs croyances et leurs valeurs morales, que ce soit au travail, dans l’éducation ou en politique, sont maintenant soumises aux décisions des organes administratifs.19 » Il va sans dire que cette décision nie également le fondement même de la société moderne, à savoir le pluralisme et la diversité, ce que nous appelons la liberté d’expression. La Cour suprême du Canada, comme l’ACLU, est devenue une source d’embarras pour ses propres valeurs — si l’on devait encore penser en termes binaires!
L’un des juges a défendu son jugement contre les normes chrétiennes en affirmant que c’était « ce qu’il y a de mieux pour la société canadienne ». Il n’a jamais dit comment il sait ce qui est le mieux, et il n’y a pas de discussion possible, parce que son jugement est un exemple classique d’ingénierie sociale d’inspiration religieuse, païenne, non binaire, motivée par le pouvoir. L’âme profonde de l’Occident, si longtemps sous l’influence binaire de la Bible, a été complètement transformée dans l’esprit de ses principaux juristes, qui en sont venus à croire que la diversité signifie que « toutes les opinions sont acceptables autres que les opinions chrétiennes bibliques ». Pour ce juge, les opinions bibliques, y compris celles de la Reine (qui est toujours Reine au Canada), ne sont pas ce qu’il y a de mieux pour la société canadienne.
Les chrétiens d’Occident doivent être saisis par les souffrances du Canada, mais ils ne doivent pas rester silencieux. Toutes les nations doivent comprendre que la Bible seule contient ce qu’il y a de mieux, à la fois pour une vie bénie dans ce monde actuel et une vie bénie dans le monde à venir, basée sur la promesse des Écritures : « Abraham deviendra certainement une nation grande et puissante, et en lui seront bénies toutes les nations de la terre » (Gn 18.18). Un jour, cette bénédiction viendra quand Jésus régnera sans opposition sur sa création et alors, au nom de Jésus, tout genou fléchira au ciel, sur la terre et sous la terre, et toute langue confessera que Jésus-Christ est Seigneur, à la gloire de Dieu le Père (Ph 2.10-11).
Notes
1. Monica Showalter, « Fake news: Crying migrant child in photo never separated from her mother » [Fausses nouvelles : Une enfant migrante en pleurs sur une photo jamais séparée de sa mère], American Thinker, 22 juin 2018.
2. Martin Robinson, « Oxford University vows to shut down “disgusting” annual bash "attended by Tory minister’s son' that saw students “whip virgins, take part in drug-fuelled orgies and watch live sex shows” » [L’université d’Oxford s’engage à mettre un terme à la « dégoûtante » fête annuelle « à laquelle assiste le fils du ministre conservateur » qui voit les étudiants « fouetter des vierges, participer à des orgies de drogue et regarder des spectacles sexuels en direct »], Daily Mail, 22 juin 2018.
3. N.D.T. : Une dominatrice est une femme qui domine son partenaire physiquement ou psychologiquement dans une relation sexuelle sadomasochiste, en utilisant la douleur, la contrainte, l’humiliation ou la mise en scène de divers fantasmes dans un but érogène.
4. N.D.T. : Le bondage est une pratique érotique où l’un des partenaires est attaché, ligoté, privé de sa liberté de mouvement.
5. N.D.T. : La discipline est l’utilisation des règles et de la punition pour contrôler les faits et gestes du partenaire soumis en cas de désobéissance, dans le domaine du sadomasochisme.
6. Robby Soave, « Leaked Internal Memo Reveals the ACLU Is Wavering on Free Speech » [Une note interne divulguée révèle que l’ACLU hésite sur la liberté d’expression; ACLU = American Civil Liberties Union, Union américaine des libertés civiles], Reason, 21 juin 2018.
7. « Elizabeth Warren: Insult to porn star is an insult to every woman » [Elizabeth Warren: une insulte à une vedette de la porno est une insulte à toutes les femmes], Washington Times, 8 juin 2018.
8. « D.C. Area Witches Unite for Gun Control, Hurl Curses at the NRA » [Les sorcières de la région de Washington D.C. s’unissent pour le contrôle des armes, lancent des malédictions à la NRA; NRA = National Rifle Association, Association nationale des fusiliers], NRA-ILA, 15 juin 2018.
9. « Human Sacrifice » [Les sacrifices humains], Exposing Satanism and Witchcraft.
10. « A Statement by the Brotherhood » [Une déclaration de la Fraternité], The Unnamed Path.
11. Colin Campbell, The Easternization of the West: A Thematic Account of Cultural Change in the Modern Era [L'orientalisation de l'Occident : Un compte-rendu thématique des changements culturels à l'époque moderne], Boulder London, Paradigm Publishers, 2007, p. 39–41.
12. Philip Goldberg, American Veda: How Indian Spirituality Changed the West [Véda américain : Comment la spiritualité indienne a changé l'Occident], New York, Harmony Books, 2010, p. 5.
13. « Meditation and yoga—too New Age for your employees? 6 top CEOs who disagree » [Méditation et yoga – trop Nouvel Âge pour vos employés? Six principaux PDG qui ne sont pas d’accord], LifeDojo, 23 janvier 2015.
14. Mohamed Omar, « Meanwhile in Canada, Peel Regional Officers Meditate in a Temple » [Pendant ce temps, au Canada, des agents régionaux de Peel méditent dans un temple], Huffington Post, 13 avril 2016.
15. « Pro-family activist in Canada under bizarre nationwide arrest warrant—for passing out “anti-LGBT” flyers. Will turn himself in to police Friday » [Activiste profamille au Canada sous le coup d’un étrange mandat d’arrêt national – pour avoir distribué des dépliants « anti-LGBT ». Il se rendra à la police vendredi], Mass Resistance, 21 janvier 2018.
16. « Religious Freedom — Trinity Western University and the Supreme Court of Canada » [Liberté de religion — Université Trinity Western et Cour suprême du Canada], Reality, juillet 2018; Kathleen Harris, « Trinity Western loses fight for Christian law school as court rules limits on religious freedom “reasonable” » [Trinity Western perd son combat pour la création d’une école de droit chrétienne, la cour jugeant « raisonnables » les limites à la liberté de religion], CBC News, 15 juin 2018.
17. N.D.T. : LGBTQ est un acronyme qui signifie lesbiennes, gais, bisexuels, transgenres et en questionnement.
18. Michael Brown, « Canada’s Supreme Court Rules Against the Bible » [La Cour suprême du Canada se prononce contre la Bible], One News Now, 20 juin 2018.
19. « Trinity Western University and the Supreme Court of Canada » [L’université Trinity Western et la Cour suprême du Canada], REAL Women of Canada, 20 juin 2018.