Dieu est un Dieu de paix
Dieu est un Dieu de paix
- Le Dieu de paix
- Un monde en guerre
- Le Prince de la paix
- La paix avec Dieu et la paix de Dieu
- La paix au sein de la famille de Dieu
- Nous sommes encore en guerre
- Recherchons la paix avec tous
- Recevons sa bénédiction et sa paix
1. Le Dieu de paix⤒🔗
Bien que la paix ne soit pas fréquemment considérée comme un attribut de Dieu, la Bible nous dit que Dieu est « un Dieu de paix ». La paix fait partie du caractère de Dieu. Lorsque Gédéon fut effrayé par l’apparition de l’ange de l’Éternel, « l’Éternel lui dit : Sois en paix et sans crainte, tu ne mourras pas. » En guise de témoignage à cette parole, « Gédéon bâtit là un autel à l’Éternel et lui donna pour nom : l’Éternel-Paix » (Jg 6.22-24). Yahvé-Shalom! Nous connaissons le « shalom » en hébreu, mot traduit par « eirènè » en grec (d’où viennent les noms Irène et Irénée et l’adjectif irénique). Paul fait mention du Dieu de paix à plusieurs reprises. « Que le Dieu de paix soit avec vous tous! » (Rm 15.33). « Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds » (Rm 16.20). « Car Dieu n’est pas un Dieu de désordre, mais de paix » (1 Co 14.33). « Ce que vous avez appris, reçu et entendu et ce que vous avez vu en moi, pratiquez-le. Et le Dieu de paix sera avec vous » (Ph 4.9). « Au reste, frères, soyez dans la joie, tendez à la perfection, consolez-vous, ayez une même pensée, vivez en paix, et le Dieu d’amour et de paix sera avec vous » (2 Co 13.11). Autant l’amour fait partie des attributs de Dieu, autant la paix le caractérise et peut être estimée comme un attribut distinct de Dieu. C’est pourquoi la paix émane de lui. Il donne la paix à ceux qui l’invoquent avec confiance.
2. Un monde en guerre←⤒🔗
Au commencement, le Dieu de paix a créé un monde où régnait la paix sans faille. Une harmonie complète existait entre Dieu et l’homme. La paix régnait parmi les humains et entre les humains et le reste de la création. Il n’a toutefois pas fallu beaucoup de temps pour que la guerre éclate, sous l’instigation du diable, cet ennemi redoutable qui s’est révolté contre Dieu et qui a semé la pagaille sur la terre. Dans la Bible, Satan est appelé l’adversaire, l’accusateur, le diviseur ou le séparateur (c’est le sens du mot « diabolos »), meurtrier, menteur et père du mensonge. Depuis l’entrée du péché dans le monde commis par nos premiers parents, une terrible guerre fait rage entre Dieu et les hommes. Il s’agit d’une guerre spirituelle qu’Adam et toute sa descendance ont engagée contre le Dieu Créateur, une guerre dans laquelle nous nous opposons à son règne, à sa volonté et à sa bonne loi.
Cette guerre des hommes et des femmes contre Dieu ne s’arrête pas là. Elle se répercute dans nos rapports entre nous. À cause de notre révolte contre Dieu, nous sommes entrés en guerre les uns contre les autres. L’harmonie des rapports humains qui existait au commencement a été perdue dès l’entrée du péché. Quand Dieu a demandé des comptes à l’homme, celui-ci, au lieu de prendre ses responsabilités, a rejeté le blâme sur sa femme (Gn 3.13). Puis Caïn, en tuant son frère Abel, s’est rendu coupable du premier meurtre de l’histoire (Gn 4). Cette histoire est remplie de guerres atroces.
Chaque année, le prix Nobel de la paix est décerné à une ou plusieurs personnes, à un pays ou à une institution pour toutes les actions menées en faveur de la paix. Ironiquement et tragiquement, depuis la création de ce prix Nobel en 1901, le 20e siècle aura été de loin le siècle le plus guerrier et le plus meurtrier de tous. La recherche de la paix semble une quête impossible à atteindre. Où que nous nous tournions, nous voyons des tensions, des conflits, des guerres. Parmi les œuvres de la chair énumérées par l’apôtre Paul, nous trouvons : « hostilités, discorde, jalousie, fureurs, rivalités, divisions, partis-pris […] Ceux qui se livrent à de telles pratiques n’hériteront pas du royaume de Dieu » (Ga 5.20).
3. Le Prince de la paix←⤒🔗
Nombreux sont ceux qui, en toute sincérité, cherchent à établir ou à promouvoir la paix dans le monde. Une telle paix restera toutefois impossible à atteindre tant que le monde ne sera pas en paix avec Dieu. Le Dieu de paix ne commence pas par établir la paix entre les hommes, il commence par établir la paix entre lui et nous, afin d’aller à la racine du mal. C’est uniquement quand nous avons la paix avec Dieu par son œuvre de réconciliation que nous commençons à vivre en paix avec les autres. Pour cela, il a fallu la venue du Prince de la paix, le Dieu tout-puissant incarné en Jésus-Christ.
« Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, et la souveraineté reposera sur son épaule. On l’appellera […] Prince de la paix. Renforcer la souveraineté et donner une paix sans fin [un shalom éternel] au trône de David et à son royaume, l’affermir et le soutenir par le droit et par la justice dès maintenant et à toujours; voilà ce que fera le zèle de l’Éternel des armées » (És 9.5-6).
Pour nous procurer le shalom avec Dieu, ce Prince de la paix devait être à la fois vrai Dieu tout-puissant pour combattre nos pires ennemis, et vrai homme parfaitement juste pour payer notre dette à notre place. L’épître aux Romains nous donne une instruction frappante de cette paix que nous procure le Prince de la paix. Les trois premiers chapitres montrent que tous, sans exception, juifs et non-juifs, sont en guerre contre Dieu et sont par conséquent en guerre contre leur prochain.
« Il n’y a pas de juste, pas même un seul; nul n’est intelligent, nul ne cherche Dieu. Tous se sont égarés, ensemble ils sont pervertis, il n’en est aucun qui fasse le bien, pas même un seul. […] Ils ont les pieds légers pour répandre le sang, la destruction et le malheur sont sur leur chemin, ils n’ont pas connu le chemin de la paix. La crainte de Dieu n’est pas devant leurs yeux » (Rm 3.10-18).
Puis, aux chapitres 3 et 4, Paul nous annonce la réconciliation avec Dieu par le moyen de la rédemption en Jésus-Christ qui nous accorde le pardon des péchés et la justification purement gratuite reçue par la foi en lui. Paul fait ensuite cette déclaration extraordinaire : « Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ » (Rm 5.1). Le sang de Jésus versé à la croix et sa vie de parfaite justice ont pleinement suffi à payer la dette de nos péchés et à satisfaire la justice de Dieu, de telle sorte que, désormais revêtus de la justice du Christ, nous avons la paix avec Dieu! La guerre contre lui est terminée. Nous sommes désormais entrés dans son shalom!
4. La paix avec Dieu et la paix de Dieu←⤒🔗
Notez bien que Paul utilise deux expressions proches, mais différentes qui possèdent deux sens différents. Il nous annonce à la fois « la paix avec Dieu » (Rm 5.10) et « la paix de Dieu » (Ph 4.7). Quelle différence y a-t-il entre les deux? « La paix avec Dieu » est un état permanent objectif fondé sur notre justification par la foi. Cette paix entre Dieu et nous a été obtenue de manière définitive et permanente par l’œuvre de rédemption accomplie par notre Sauveur. Jamais plus Dieu ne sera en guerre contre ceux qui croient en son Fils pour leur salut. Étant justifiés par la foi, nous avons pour toujours la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ! Cette paix avec Dieu ne s’amoindrira jamais et ne sera jamais remise en question. « La paix de Dieu », quant à elle, est un état subjectif que l’Esprit de Dieu produit dans nos cœurs et qui découle de la paix avec Dieu, mais qui peut varier en nous selon les moments ou les circonstances. Cette paix en nous peut parfois être assombrie et même temporairement perdue, lorsque nous péchons contre Dieu ou quand nous vivons des épreuves. Paul nous enseigne comment Dieu s’y prend pour nous communiquer cette paix.
« Ne vous inquiétez de rien; mais, en toutes choses, par la prière et la supplication, avec des actions de grâce, faite connaître à Dieu vos demandes, et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos cœurs et vos pensées en Jésus-Christ » (Ph 4.7).
5. La paix au sein de la famille de Dieu←⤒🔗
Le Dieu de paix ne se limite toutefois pas à rétablir la paix entre lui et nous et à déverser sa paix dans nos cœurs. Il veut également que cette paix venant de lui rayonne dans son Église. En Romains 15, après avoir expliqué en détail la doctrine de l’Évangile et ses implications éthiques, et après avoir annoncé ses projets de voyage aux chrétiens de Rome, l’apôtre Paul conclut avec cette bénédiction : « Que le Dieu de paix soit avec vous tous! » (Rm 15.33). Puis, après ses recommandations et ses salutations personnelles, il conclut au chapitre suivant par une autre bénédiction : « Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds. Que la grâce de notre Seigneur Jésus soit avec vous! » (Rm 16.20). Remarquez chaque fois le pluriel! La paix de Dieu doit s’étendre à toute son Église collectivement.
L’expression « le Dieu de paix » n’est pas une parole anodine, elle signifie beaucoup de choses dans le contexte. Elle signifie « le Dieu qui donne la paix ». Tout ce qui précède dans cette épître sert à expliquer comment Dieu donne la paix. Il le fait d’abord, comme nous l’avons vu, en accordant à chaque croyant la justification par la foi et en établissant ainsi la paix avec Dieu par Jésus-Christ. Toutefois, Dieu ne s’arrête pas là. Il donne la paix dans l’Église, à l’intérieur du corps du Christ.
Dans toute son épître aux Romains, Paul se soucie du rapport entre juifs et païens. Juifs et non-juifs sont tous en guerre contre Dieu, sous l’emprise du péché. Juifs et non-juifs deviennent tous en paix avec Dieu par la foi au Christ. Juifs et non-juifs unis au Christ sont alors tous appelés à vivre en paix entre eux dans l’Église du Seigneur.
Par exemple, Paul dit que les païens ont été greffés sur la même racine sainte d’Israël et participent au même olivier (Rm 11.16-21). Puis, Paul adresse à l’Église de nombreuses exhortations pastorales qui en découlent. « Nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ et nous sommes tous membres les uns des autres » (Rm 12.5). « Par amour fraternel, ayez de l’affection les uns pour les autres » (Rm 12.10). « Ayez les mêmes sentiments les uns envers les autres » (Rm 12.16). Puis, dans le contexte où les chrétiens de Rome avaient des opinions différentes à propos de la consommation de certains aliments et de certains breuvages, il aborde ce sujet qui créait des tensions entre eux en commençant par dire : « Faites bon accueil à celui qui est faible dans la foi, sans discuter des opinions » (Rm 14.1). Puis il continue :
« Car le royaume de Dieu, c’est non pas le manger ni le boire, mais la justice, la paix et la joie, par le Saint-Esprit. Celui qui sert Christ de cette manière est agréable à Dieu et approuvé des hommes. Ainsi donc, recherchons ce qui contribue à la paix et à l’édification » (Rm 14.17-19).
Enfin, il dit : « Faites-vous mutuellement bon accueil, comme Christ vous a accueillis, pour la gloire de Dieu » (Rm 15.7). La paix de Dieu dans l’Église doit se manifester par ce qui contribue à la paix entre nous, à l’édification, à l’accueil mutuel et aux sentiments d’affection les uns pour les autres.
En Éphésiens 2, Paul expose en détail et avec beaucoup de conviction le sujet de la paix nouvelle que Jésus est venu établir entre chrétiens d’origine juive et non-juive.
« Souvenez-vous donc de ceci : autrefois, vous, païens dans la chair, traités d’incirconcis par ceux qui se disent circoncis et qui le sont dans la chair et par la main des hommes, vous étiez en ce temps-là sans Christ, privés du droit de cité en Israël, étrangers aux alliances de la promesse, sans espérance et sans Dieu dans le monde. Mais maintenant, en Christ-Jésus, vous qui autrefois étiez loin, vous êtes devenus proches par le sang de Christ. Car c’est lui notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un, en détruisant le mur de séparation, l’inimitié. Il a dans sa chair annulé la loi avec ses commandements et leurs dispositions, pour créer en sa personne, avec les deux, un seul homme nouveau en faisant la paix, et pour les réconcilier avec Dieu tous deux en un seul corps par sa croix, en faisant mourir par elle l’inimitié. Il est venu annoncer comme une bonne nouvelle, la paix à vous qui étiez loin et la paix à ceux qui étaient proches; car par lui, nous avons les uns et les autres accès auprès du Père dans un même Esprit. Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens de passage; mais vous êtes concitoyens des saints, membres de la famille de Dieu » (Ép 2.11-19).
L’un des plus grands défis que l’Église du temps des apôtres a dû affronter fut celui de la paix entre chrétiens d’origine juive et chrétiens d’origine païenne. Il a fallu des efforts considérables pour que cette paix soit maintenue et vécue harmonieusement au sein de l’Église. Cette paix n’a été possible que grâce à l’œuvre du Christ à la croix qui a créé en sa personne, avec les deux groupes, un seul homme nouveau en faisant la paix premièrement avec Dieu, puis en plaçant les deux dans la même famille de Dieu, avec la même foi, la même espérance et un même amour.
Tout au long de l’histoire, de nombreux clivages se sont produits dans l’Église du Seigneur. Depuis le début de la pandémie, malheureusement, de nouveaux clivages sont apparus dans un grand nombre d’Églises. À bien des endroits, les avis partagés sur tout ce qui se passe et sur les mesures imposées par autorités civiles ont causé des polarisations et des divisions. Malheureusement, l’Église risque de sortir de cette pandémie très affaiblie et fragilisée. En ce moment, une nouvelle fracture sociale entre vaccinés et non-vaccinés est en train de déchirer la société. C’est bien triste à voir! Nous devons bien prendre garde que cette fracture sociale ne pénètre pas dans l’Église et ne vienne pas nous diviser! L’Église n’a pas pour mission de prendre position dans le débat sur le vaccin et n’a pas non plus reçu de Dieu le mandat de créer un tel clivage. Nous devons respecter les opinions des uns et des autres en évitant de créer tout clivage basé sur le statut vaccinal de nos frères et sœurs. Au contraire, accueillons-nous mutuellement et faisons preuve d’affection mutuelle les uns envers les autres!
6. Nous sommes encore en guerre←⤒🔗
Le fait que nous appartenions au Dieu de paix ne nous garantit pas une vie paisible dans ce monde, bien au contraire! En fait, le Seigneur Jésus nous a bien avertis que le monde nous haïra du fait que nous lui appartenons et du fait que nous pensons et agissons en opposition avec les principes du monde. Ayant été établis dans l’alliance de grâce et de paix, nous sommes les alliés du Dieu de paix, et par conséquent nous sommes en guerre contre les ennemis de Dieu, notre principal ennemi étant Satan, l’adversaire. Nous sommes appelés à lui résister et à le combattre.
« Soyez sobres. Veillez! Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer; résistez-lui, fermes en la foi, et sachant que les mêmes souffrances sont imposées à vos frères dans le monde » (1 Pi 5.9).
Notre plus grand ennemi n’est pas le virus, encore moins les non-vaccinés. Notre plus grand ennemi, c’est le diable et ses acolytes, les esprits du mal.
« Au reste, fortifiez-vous dans le Seigneur et par sa force souveraine. Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les manœuvres du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les pouvoirs, contre les dominateurs des ténèbres d’ici-bas, contre les esprits du mal dans les lieux célestes. C’est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour et tenir ferme après avoir tout surmonté » (Ép 6.10-13).
7. Recherchons la paix avec tous←⤒🔗
En paix avec Dieu, mais en guerre contre les ennemis de Dieu, notre vocation consiste à être des artisans de paix dans l’Église et dans ce monde, comme Jésus le dit dans les béatitudes (Mt 5.9). Si notre façon de penser et de vivre entre forcément en conflit avec les valeurs néo-païennes de ce monde à la dérive, nous sommes tout de même appelés à rechercher la paix autant que possible.
« Ne rendez à personne le mal pour le mal. Recherchez ce qui est bien devant tous les hommes. S’il est possible, autant que cela dépend de vous, soyez en paix avec tous les hommes. Ne vous vengez pas vous-mêmes, bien-aimés, mais laissez agir la colère, car il est écrit : À moi la vengeance, c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur » (Rm 12.17-19).
Rappelons-nous que la seule façon de procurer la paix véritable consiste à proclamer l’Évangile du Prince de la paix. L’Église doit s’assurer de maintenir et promouvoir le ministère de la Parole, que Paul appelle « le ministère de la réconciliation ». « Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ et qui nous a donné le service de la réconciliation » (2 Co 5.18), par lequel nous supplions les hommes : « Soyez réconciliés avec Dieu! » (2 Co 5.21).
8. Recevons sa bénédiction et sa paix←⤒🔗
Sommes-nous à la hauteur de cette vocation? Bien sûr que non! Toutefois, la Parole nous encourage :
« Que le Dieu de paix vous sanctifie lui-même tout entiers; que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé sans reproche à l’avènement de notre Seigneur Jésus-Christ » (1 Th 5.23).
La vraie paix ne peut pas exister dans ce monde sous le règne de Satan. Mais prenez courage, vous qui appartenez au Seigneur Jésus! « Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds » (Rm 16.20). Un jour, la paix parfaite régnera dans le monde nouveau, quand le Christ viendra lors de son avènement glorieux! En attendant, nous vivons dans le temps présent comme étant déjà entrés dans ce royaume, ayant déjà reçu la paix avec Dieu. En même temps, nous vivons en opposition avec le royaume des ténèbres dirigé par Satan. Nous cherchons à vivre en harmonie avec le Dieu de paix et en opposition avec les principes du monde. Nous sommes entièrement dépendants de la bénédiction de Dieu pour qu’il nous garde en lui et nous transforme à son image afin que nous puissions refléter sa gloire.
« Que le Dieu de paix — qui a ramené d’entre les morts le grand berger des brebis, par le sang d’une alliance éternelle, notre Seigneur Jésus — vous rende apte à tout ce qui est bien pour faire sa volonté; qu’il fasse en nous ce qui lui est agréable par Jésus-Christ, à qui soit la gloire aux siècles des siècles! Amen! » (Hé 13.20).