Des Amérindiens chinois?
Des Amérindiens chinois?
« Ayant trouvé un navire qui faisait la traversée vers la Phénicie, nous nous sommes embarqués pour faire voile plus loin. »
Actes 21.2
De nos jours, nous considérons la migration européenne en Amérique du Nord comme étant le fruit d’une époque plus éclairée. Lorsque nous faisons cela, nous oublions que les Amérindiens ont migré en Amérique du Nord et du Sud à partir de l’Asie et qu’ils y ont développé leur propre culture bien avant les Européens. Si ce que dit un linguiste d’une université chrétienne au Texas est vrai, les Amérindiens olmèques du Sud-ouest américain et de l’Amérique centrale n’étaient peut-être pas du tout des Amérindiens.
Le linguiste Mike Xu a passé de nombreuses années à étudier des reliques olmèques de jade, de pierre et de poterie datant de trois mille ans. La civilisation olmèque est apparue brusquement, comme si elle était sortie de nulle part, vers 1200 av. J.-C. En examinant les centaines de symboles qui se trouvent sur les reliques, il a été frappé par le fait que les symboles olmèques ressemblent beaucoup à l’écriture chinoise de la même période. L’art olmèque ressemble lui aussi beaucoup à l’art chinois de la même période. Il ajoute que les pratiques religieuses olmèques étaient très semblables aux pratiques religieuses chinoises de cette époque. Par exemple, dans les deux cultures, on mettait des perles de jade dans la bouche des morts pour éloigner le mal. Xu conclut que les similarités sont trop frappantes pour n’être qu’une simple coïncidence.
Toute une civilisation a vu le jour, peut-être approvisionnée par des bateaux en provenance de la Chine, ce qui impliquerait alors qu’un système élaboré de transport maritime à travers le Pacifique ait été mis en place. Nous devrions peut-être réviser notre système évolutionniste d’évaluation de l’histoire antique et reconnaître que les gens de cette époque étaient simplement aussi curieux et ingénieux que nous le sommes aujourd’hui.
Prière : Demandons au Seigneur de nous aider à utiliser les habiletés qu’il nous donne à sa gloire.