Cet article a pour sujet la christologie d'après Karl Barth, Emil Brunner et la néo-orthodoxie où le Christ serait la manifestation totale de la divinité et où sa divinité apparaîtrait dans son humiliation par laquelle Dieu s'humilie et souffre.
Cet article a pour sujet la christologie du devenir d'après Norman Pittenger. Jésus se serait trompé sur lui-même, étant donné qu'il a revêtu notre humanité, et nous aurait donné un exemple suprême d'amour pour notre accomplissement.
Cet article a pour sujet la christologie d'après Paul Tillich qui rejette les faits historiques de la vie de Jésus (historicité), mais affirme son symbolisme ou sa signification religieuse.
Cet article a pour sujet la christologie d'après le catholicisme romain qui considère que la nature divine du Christ pénètre entièrement sa nature humaine, de sorte que sa nature humaine aurait été divinisée (déification de l'homme).
Cet article a pour sujet la christologie d'après le luthéranisme qui enseigne que les qualités de la nature divine du Christ sont communiquées à sa nature humaine, d'où l'omniprésence de son humanité dans la Cène.
Cet article a pour sujet la christologie de la kénose qui affirme que la Parole devenue homme aurait abandonnée sa divinité ou que Jésus se serait tout au moins dépouillé d'une partie de ses attributs divins.
Cet article a pour sujet la réconciliation par Christ à la croix. Les théories subjectives disent que la croix éveille en nous l'amour pour Dieu. Les théories objectives disent que Christ a satisfait à la justice de Dieu par l'expiation des péchés.