Cet article sur les questions d'introduction à 1 Pierre traite de son auteur, des destinataires, du lieu de sa rédaction, de ses particularités, de son message et de l'analyse de son contenu.

Source: Introduction au Nouveau Testament. 7 pages.

Introduction à la première épître de Pierre

  1. Auteur
  2. Destinataires
  3. Lieu de rédaction
  4. Particularités
  5. Message
  6. Contenu et analyse
  7. Questions

1. Auteur🔗

L’apôtre Pierre n’est autre que Simon, le fils de Jonas, que mentionnent les quatre Évangiles. Il est surnommé Pierre par Jésus. Certainement, il est la figure la plus familière des Évangiles. Galiléen, il est le frère d’André, un autre disciple, et comme lui pêcheur de métier. Il est originaire de la bourgade de Bethsaïda; il est marié et nous apprenons que sa belle-mère vivait sous son toit.

C’est André qui l’amènera auprès de Jésus et il deviendra ainsi l’un des tout premiers disciples du Seigneur. Comme d’autres, il quittera tout pour le suivre. Le Seigneur lui accorde une attention toute particulière. Nommé apôtre, il est mentionné toujours le premier dans la liste du collège apostolique. Il tiendra un rôle de tout premier plan et ce sera lui qui confessera en premier la filiation divine du Christ. Néanmoins, en dépit de ses bonnes intentions et de ses fermes résolutions, il reniera Jésus lors du procès devant Caïphe. Ce reniement a été la conséquence d’une soudaine panique. Il se ressaisira et donnera le signe de son sincère repentir. Au cours des événements qui accompagneront l’arrestation et la crucifixion, il abandonnera le Sauveur. Néanmoins, après sa résurrection le Christ lui apparaîtra; il aura aussi été le premier à pénétrer dans le tombeau vide. Plus tard, le Christ aura un tête-à-tête avec lui.

Le jour de Pentecôte, son discours public inaugurera la nouvelle mission chrétienne. La première Église aura été le fruit de cette proclamation. À partir de ce jour-là, et jusqu’au Concile de Jérusalem (Ac 15), il tiendra un rôle prépondérant dans la proclamation de l’Évangile et dans l’institution et le rayonnement de l’Église naissante. Il ouvrira aussi la porte de la foi aux gentils — convertis du paganisme — notamment lors de sa visite chez l’officier romain Corneille, de la garnison établie à Césarée de Philippe. Après le Concile de Jérusalem, nous n’entendrons plus beaucoup parler de lui. Il est probable qu’il ait exercé un ministère itinérant en compagnie de son épouse (1 Co 9.5).

Selon la tradition, il serait mort à Rome, vers 67, crucifié comme le Seigneur, la tête en bas sur sa demande. Dans ce cas, il aurait eu 75 ans. Pierre a été appelé le prince des apôtres. D’un tempérament impulsif et enthousiaste, il prend sans cesse part aux initiatives chrétiennes et il apparaît très souvent comme le porte-parole de ses compagnons.

Au fond de lui-même, il est d’une consécration et d’une loyauté au-dessus de tout soupçon. C’est ce qui explique son grand embarras en présence du Christ lors de l’apparition de celui-ci après la résurrection. Sans doute est-il un peu instable, passionné aussi, peut-être même orgueilleux sur les bords… Mais ce fut cet homme-là que le Seigneur appela Pierre, Rocher (du grec « petra »). Toutefois, ces qualités incontestables ne lui octroyèrent aucunement une position de prééminence sur les autres apôtres. En lui confiant les clés du Royaume (Mt 16.18), Jésus ne lui accorda pas un pouvoir qui ne serait pas détenu par les autres apôtres. Bien au contraire, le collège apostolique dans son ensemble en sera le détenteur (Mt 18.18), car la clé en question n’est autre que la proclamation de l’Évangile du salut. Remarquons que nulle part dans ses discours ou ses écrits, Pierre ne se présente comme étant au-dessus des autres apôtres ni ne réclame pour lui un droit de prééminence. De même, aucun autre disciple ne semble lui reconnaître une telle priorité. Lors de toutes les assemblées de l’Église ou des visites rendues à des Églises nouvellement fondées, toutes les décisions sont prises en commun. Un examen de la lettre envoyée à Antioche (Actes 15) ne révèle aucune indication d’une supériorité de Pierre.

Rappelons enfin sa grave faute, commise aussi par d’autres sommités de l’Église de Jérusalem, lors d’un incident survenu entre chrétiens d’origine juive et ceux d’origine païenne (Ga 2.11). On ne peut conclure donc à une quelconque infaillibilité de Pierre.

Les passages suivants permettent de reconstituer dans ses grandes lignes la biographie de Pierre à partir de sa vocation : Jn 1.41-42; Mc 1.16-20, 29; 8.29; Jn 6.67-68; Mt 19.27; Mc 5.37; 9.2; Lc 5.10; Mt 16.17; Lc 22.31-32; Jn 13.6-10; Mt 26.29-75; Jn 13.36-38; 18.10-15; 21.7, 15-21.

2. Destinataires🔗

Les circonstances de la rédaction de la première lettre de Pierre sont les suivantes :

Nous les replacerons dans leur contexte plutôt large, et nous expliquerons la nécessité, voire l’urgence, de l’envoi de cette lettre. Jusqu’à un certain point, le Nouveau Testament a peu de choses à dire au sujet des rapports entre la foi chrétienne et le gouvernement impérial (Mt 22.21). Le livre des Actes des apôtres présente invariablement les rapports entre le christianisme et les magistrats romains sous un jour favorable, tout en donnant l’impression que ces rapports sont rares. Les lettres de Pierre ne discutent pas de questions politiques et ne fondent pas une théorie politique comme telle. Elles exhortent les fidèles à se soumettre aux autorités.

Ce silence relatif concernant les relations politiques sous un gouvernement totalitaire n’était pas sans importance et pourrait s’expliquer aisément de diverses manières. Le christianisme était une religion spirituelle et non politique (Jn 18.36), bien que l’application de la doctrine enseignée par Jésus avait des conséquences ou des implications politiques certaines. Pourtant, les apôtres n’étaient ni des agitateurs politiques ni des révolutionnaires prônant la création d’une société nouvelle. Rappelons aussi que le christianisme naissant se développa à l’intérieur du judaïsme comme religio licita, c’est-à-dire, comme culte toléré et même, à l’occasion, protégé par les pouvoirs publics. La politique romaine laissait aux religions et aux cultes des « provinces » la possibilité de s’exercer assez librement à condition qu’il n’y ait pas de conflit entre eux et l’autorité civile. Tant que les chrétiens ne troublaient pas l’ordre public, l’État ne s’ingérait pas dans les affaires de l’Église.

Les premiers chrétiens laissaient une impression plutôt favorable sur les autorités romaines (Ac 16.36-39; 22.24-29; 24.12). L’Église des premiers temps suivit une politique de pénétration pacifique de la société en y proclamant le message du Christ. Vers la fin des années 60 de notre ère, la situation changea et se détériora. Les chrétiens s’étaient séparés du judaïsme et étaient reconnus comme un groupe différent. Leur foi au Dieu invisible et au Christ ressuscité éveilla la suspicion et déclencha le mépris public, et leurs discours au sujet d’un jugement dernier et du renversement des structures existantes donnèrent lieu à toutes sortes de malentendus qui provoquèrent même la haine. Les réactions commencèrent par les accusations de Néron. La mort de l’apôtre Pierre fut un tournant dans la politique gouvernementale. Lorsque les Églises se rendirent compte du changement d’attitude, elles eurent peur des dangers qui les menaçaient. Elles ne pouvaient organiser de résistance, car, ce faisant, elles auraient violé leur principe de non-violence. Allaient-elles connaître l’extermination? Quelle serait l’issue? Les brutalités de Néron risquaient de se produire jusqu’aux plus lointaines provinces de l’empire. C’est ainsi que les fidèles attendaient de la part de leurs conducteurs spirituels une réponse, sinon rassurante, au moins claire. C’est précisément cette situation qui occasionna la réponse contenue dans la première lettre de Pierre.

Nous savons peu de choses au sujet des Églises, de leur origine et de leur organisation en Asie Mineure (Ac 16.7,9; Ga 2.11, 1 Co 9.5). La première lettre de Pierre fut adressée aux élus qui séjournaient dans la diaspora (dispersion). Ils sont tous d’origine païenne. Ces termes sont-ils au sens figuré, ou bien au sens littéral? Pour un juif, le terme désignait celui qui ne connaissait pas le Dieu véritable, ce qui laissait entendre qu’il devait être païen. Dans la lettre de Pierre, le terme comporte ce sens-là. Car les chrétiens d’origine juive ne pouvaient pas être des ignorants. En outre, la lettre fait mention de la sortie de ces chrétiens hors des ténèbres (1 Pi 2.9; 4.3).

Cependant, il est raisonnable de penser que, dans ces Églises, il y avait aussi un large noyau juif mêlé aux païens. C’est donc le danger imminent d’une persécution qui donne lieu à la rédaction de notre lettre. C’est pourquoi le terme de souffrance apparaît près de 16 fois.

3. Lieu de rédaction🔗

L’auteur mentionne Babylone (1 Pi 5.13) d’où il adresse sa lettre. Ce terme apparaît aussi dans Apocalypse 14.8 et 18.2,10,21, et à cet endroit certains interprètes suggèrent qu’il se réfère de manière cryptique à Rome, la capitale du monde. Cependant, il existe des divergences que nous ne mentionnerons qu’en passant. S’il s’agissait véritablement de Rome, pourquoi l’auteur ne prend-il pas soin de le dire explicitement? S’il y était mort, les délais entre son arrivée et sa mort lui auraient difficilement permis de rédiger les deux lettres qui lui sont attribuées. Enfin, l’ordre dans lequel sont mentionnées les provinces où se trouvent les Églises commence par énumérer celles de l’est pour aboutir à celles de l’ouest, ce qui présume un lieu de rédaction plutôt oriental. Certains spécialistes, dont Jean Calvin, pensent qu’il s’agissait de la Babylone ancienne. Cependant, nous savons qu’à l’époque de la rédaction de la lettre il ne s’y trouvait plus de colonie juive, car la ville était totalement détruite. Aucune tradition ancienne ne laisse entendre que Pierre y séjourna. Une troisième hypothèse veut que la lettre ait été rédigée à partir de Babylone sur le Nil, l’actuel Caire. Or, ici se trouvait précisément une importante colonie juive.

4. Particularités🔗

L’apôtre Pierre est bien connu sous la désignation « d’apôtre des circoncis », ce qui explique les nombreuses allusions dans ces deux lettres faites à l’Ancien Testament (1 Pi 1.10,16,24-25; 2.3,6,7,9,10,17,22). C’est dans la première que nous rencontrons proportionnellement le plus grand nombre de citations. En sa qualité d’apôtre des circoncis, Pierre montre que l’Évangile est bien la suite et la réalisation spirituelle de l’Ancien Testament et de la religion juive. D’où les expressions propres à cette lettre, telles que : espérance, se soumettre, faire ce qui est bien, souffrir, débordement de débauche, s’ingérer dans les affaires d’autrui, la fournaise, le Pasteur et le Gardien de vos âmes, le lion rugissant, etc., expressions qui ne se trouvent nulle part ailleurs dans le Nouveau Testament. C’est encore ici que nous trouvons le célèbre passage sur la prédication de Jésus aux esprits en prison, dont l’interprétation est difficile (1 Pi 3.18-22; 4.6).

5. Message🔗

Il n’est pas aisé de diviser la lettre en des sections qui montrent une progression ordonnée de la pensée de son auteur.

Mais ici comme ailleurs dans le Nouveau Testament, la doctrine et la conduite, la théologie et la morale, les grandes déclarations et les exhortations pratiques se succèdent. Il n’y a pas de séparation artificielle entre la théologie et la piété. Au contraire, celle-ci nourrit celle-là et la piété fondée sur la connaissance doctrinale prouve la réalité concrète la vie nouvelle en Christ. Aussi les quelque trente impératifs que contient la lettre ne sont pas des énumérations de pratique de perfectionnement qui aboutiraient nécessairement à un moralisme stérile. Au contraire, ils se présentent fondés sur l’indicatif qui les précède et par lequel débute la lettre : « À ceux qui sont élus selon la prescience de Dieu le Père et par la sanctification de l’Esprit… afin qu’ils deviennent obéissants » (1 Pi 1.1-2). Parce que le chrétien est une nouvelle création (mode indicatif), il peut et doit vivre comme tel (mode impératif).

Le grand thème de la lettre est la souffrance. L’auteur s’efforce de montrer la nécessité de l’épreuve et la puissance que donne la grâce pour la supporter, mais il prédit aussi la gloire qui suivra. Cette lettre est l’un des joyaux les plus précieux du Nouveau Testament et une source bienfaisante de consolation pour l’affligé. La souffrance, conséquence directe ou indirecte du péché, est permise par Dieu en tant que moyen de discipline chrétienne. Lorsqu’elle est acceptée avec joie, elle unit intimement le fidèle au Christ, lui qui fut l’Homme de douleur. Celui qui souffre non à cause de ses propres fautes, mais à cause du Seigneur s’inspire de l’exemple du Christ et se remet avec confiance entre les mains de Dieu. Car la grâce divine est suffisante pour toutes nos épreuves. Or chacune d’elles contient une bénédiction divine, cachée, mais réelle.

La souffrance n’est pas un accident absurde (opinion non chrétienne). Elle n’est pas davantage une œuvre méritoire pour contribuer à notre rédemption (doctrine catholique romaine). Pour le croyant, elle est un signe certain de son élection. Dieu permet que les siens souffrent. Son dessein consiste à sauver les hommes au prix de la souffrance, celle du Christ. Lorsque le fidèle comprend ce dessein divin, il participe à son tour à cette agonie et porte sur ses épaules le poids du monde sans Dieu.

Mais au fond, c’est Dieu en personne qui porte ce poids. Notre salut, comme celui du monde, ne sera pas le fruit de notre souffrance. Pourtant, notre certitude transforme l’épreuve et la rend en quelque sorte transparente, et alors nous apercevons à travers elle la gloire à venir qui dépassera en éclat même les représentations les plus audacieuses de notre imagination. C’est à cette condition que nous pourrons saisir la nature de notre mission dans le monde présent. Notre fidélité envers Dieu dans l’ardente fournaise de la persécution, de l’oppression et de l’épreuve est plus importante que notre propre sécurité et notre bien-être. La fidélité nous la devons à Dieu, quel qu’en soit le prix. Elle est exigée toujours, même s’il n’y a pas de souffrance en vue. Le disciple n’est pas plus grand que le Maître, disait Jésus-Christ. Ajoutons aussi que notre fidélité envers Dieu est un service que nous rendons au monde. Celui qui souffre injustement assume une responsabilité dans le plan de Dieu et se met au service de ses proches.

Cependant, la souffrance n’aura jamais le dernier mot. Le salut accorde une glorieuse espérance. En dépit des afflictions et des tribulations, le croyant est persuadé que la situation définitive ne sera jamais la pire des situations. C’est l’héritage céleste qui ne se flétrit point qui l’attend s’il persévère dans la patience. Ce qui annonce parallèlement un autre thème, celui de la sainteté.

Il s’agit donc de répondre à cet héritage céleste par une conduite irréprochable. Il faut se souvenir des motifs réels de celle-ci. D’abord se rappeler de la sainteté de Dieu, ensuite du prix qui a été payé pour notre rachat. La sainteté se manifestera alors au moyen de la Parole qui régénère, par une semence incorruptible afin que nous exercions le ministère divin de la royauté, de la prophétie et de la prêtrise universelle, dans tous les domaines de la vie et dans tous les secteurs de nos activités. On peut ajouter que la valeur incomparable de cette lettre consiste en la façon dont elle montre aux chrétiens comment vivre chaque jour leur vocation chrétienne dans le monde.

Au sujet du passage controversé de 1 Pierre 3.18-22, ajoutons encore qu’il n’offre pas de base pour une théologie de la seconde chance, comme si on pouvait, après la mort, s’attendre à une occasion de se repentir. On peut simplement émettre l’hypothèse suivante : Si Christ alla dans le monde des esprits invisibles, ce fut dans l’intention de leur annoncer sa victoire; de leur faire part des résultats de sa mission expiatrice. Précisons aussi que Noé et les siens furent sauvés non grâce au déluge (le baptême en étant le symbole), mais du déluge, ou à travers celui-ci. Pierre nous rappelle que le baptême est avant tout le signe de l’expiation et nous indique sans cesse l’œuvre de la rédemption, accomplie une fois pour toutes sur la croix par le Fils de Dieu, notre Sauveur.

6. Contenu et analyse🔗

      Introduction - 1.1-2

  1. Actions de grâces - 1.3-12
    Une grande doxologie
    a. Pour une espérance vivante - 1.3
    b. Pour l’héritage - 1.4
    c. Pour la protection divine - 1.5
    d. Pour les joies et les épreuves - 1.6-9
    e. Pour le salut en Christ - 1.10-12
     
  2. Obligations résultant des bénédictions de la grâce - 1.13 à 4.17
    a. Des relations correctes avec Dieu - 1.13 à 2.10
        1. Vivre dans l’espérance - 1.13
        2. Vivre dans la sainteté - 1.14-16
        3. Vivre dans la crainte de Dieu - 1.17-21
        4. Vivre dans l’amour - 1.22-25
        5. Désirer le lait de la parole - 2.1-3
        6. Devenir des rois et des prophètes de Dieu - 2.4-10
    b. Des relations avec les hommes - 2.11 à 3.12
        1. Devoirs envers l’autorité civile - 2.12-17
        2. Devoirs des serviteurs - 2.18-25
        3. Devoirs des épouses - 3.1-6
        4. Devoirs des époux - 3.7
        5. Devoirs des fidèles dans un monde de péché - 3.8-12
    c. Attitude correcte dans la souffrance - 3.13 à 4.19
        1. Acceptez la souffrance - 3.13-17
        2. Rappelez-vous du Christ - 3.18-22
        3. Rappelez-vous du jugement et de la mort inévitable - 4.1-11
        4. Réjouissez-vous dans l’épreuve - 4.12-19
     
  3. Exhortations aux ministres et aux membres des Églises - 5.1-11
    a. Aux anciens - 5.1-4
    b. Aux jeunes - 5.5a
    c. À tous - 5b-11

      Conclusion - 5.12-14

7. Questions🔗

  1. Donner un plan de la biographie de Pierre.
  2. Décrire la situation des destinataires.
  3. Comparer le discours de Pierre dans Actes 2 et son enseignement ici.
  4. Quels sont le fondement et l’instrument de l’élection? (1.2).
  5. Quel est l’héritage qui attend l’élu? (1.4).
  6. Comment faut-il envisager l’épreuve? (1.7).
  7. De quelle manière les prophètes étaient-ils intéressés au salut? Et les anges? (1.10, 12).
  8. À qui le chrétien est-il comparé? (2.3; 5.9,11).
  9. À qui le Christ est-il comparé? (2.7-8).
  10. À quoi servent les autorités? (2.14).
  11. Quelle est la différence entre l’attitude chrétienne et l’attitude non chrétienne vis-à-vis de la femme?
  12. Quelles sont les responsabilités des anciens? (5.1-4).
  13. Étudier les passages qui traitent de l’espérance.
  14. Étudier les passages qui parlent de la passion et de la résurrection du Christ.
  15. Noter les étapes du développement chrétien.
  16. Souligner les « travers » des prédicateurs (5.1-3).
  17. Résumer le message chrétien primitif (1.18-21).