Jean 13 - Jésus les aima jusqu’au bout
Jean 13 - Jésus les aima jusqu’au bout
« Avant la fête de Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde au Père, Jésus, qui avait aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. Pendant le repas, alors que le diable avait déjà mis au cœur de Judas, fils de Simon, de le livrer, Jésus, qui savait que le Père avait tout remis entre ses mains, qu’il était venu de Dieu et qu’il s’en allait à Dieu, se leva de table, ôta ses vêtements et prit un linge dont il s’entoura. Ensuite, il versa de l’eau dans un bassin et se mit à laver les pieds des disciples et à les essuyer avec le linge qu’il avait à la ceinture. »
Jean 13.1-5
Bien-aimés du Seigneur,
L’Évangile de Jean est semblable à une mine de diamants remplie d’immenses richesses. Jean 13 à 17 est la section qui contient les diamants les plus précieux. Nous allons explorer dans cette série les richesses de ces magnifiques chapitres. Comment résumer ces cinq chapitres? Jean 13 à 17 a pour thème : La paix du Christ au milieu de la tempête.
Oui, la tempête fait rage, et bientôt, dans la vie de Jésus, la tempête deviendra extrêmement violente. Dans quelques heures, Jésus sera arrêté, condamné, crucifié. Mais juste avant d’entrer dans le plus fort de la tempête, le Seigneur se retire dans la chambre haute avec ses apôtres. Il prend quelques instants tranquilles avec ses bien-aimés pour les préparer à ce qui s’en vient. Jésus est en paix au milieu de la tempête. Même si parfois il est troublé, il est habité d’une paix profonde afin de devenir pour son Église notre havre de paix.
En Jean 14.27, Jésus dira : « Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. […] Que votre cœur ne se trouble pas. » En Jean 16.33, il conclura son discours en disant : « Je vous ai parlé ainsi, pour que vous ayez la paix en moi. » Ces chapitres nous révèlent la paix qui règne dans le cœur du Seigneur Jésus-Christ et qu’il met dans le cœur de ceux qui croient en lui. Au milieu de nos tempêtes, recherchons-nous sa paix? Cherchons-nous refuge en lui seul? C’est la question qui nous est posée par ces chapitres 13 à 17 de l’Évangile de Jean.
Commençons donc notre exploration minière. Creusons d’abord les premières richesses qui se trouvent dans Jean 13.1-5. Tout de suite, nous découvrons le plus beau des diamants, à la fin du verset 1 : « Jésus les aima jusqu’au bout. » Un joyau magnifique, exceptionnel! Dans toutes nos tempêtes, il n’existe pas de refuge plus apaisant. Jésus aima les siens jusqu’au bout. Trois observations :
1. Le contexte⤒🔗
Le contexte nous est donné dès le verset 1 : « Avant la fête de Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui… » Nous sommes juste avant la fête de Pâque. Dans son Évangile, Jean veut montrer que Jésus est l’accomplissement de l’Ancien Testament. Il accomplit les prophéties, il accomplit les lois, il accomplit les fêtes de l’Ancien Testament. La fête de Pâque est souvent mentionnée par Jean. Et voici la dernière Pâque que Jésus va célébrer avec ses disciples. Le Seigneur Jésus est l’accomplissement de la Pâque. Maintenant, l’heure est venue pour lui de l’accomplir.
Qu’est-ce que la Pâque? C’est une fête que Dieu avait instituée quand Israël était encore esclave en Égypte. Dieu voulait frapper tous les premiers-nés des Égyptiens. Il a donné un moyen pour protéger son peuple. Il fallait sacrifier un agneau, prendre le sang de l’agneau, en badigeonner les cadres de portes de leurs maisons. Toutes les maisons badigeonnées allaient être protégées. Dieu avait promis d’épargner les premiers-nés d’Israël. C’est le principe de la substitution : un agneau sacrifié pour délivrer les premiers-nés de chaque famille. Le sang d’un agneau sans défaut pour sauver Israël! Jean-Baptiste a très bien compris à qui il avait affaire quand Jésus est venu à lui pour se faire baptiser. Il a déclaré : « Voici l’Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde » (Jn 1.29). Qui est l’Agneau pascal? Qui est celui qui a versé son sang pour que nous soyons épargnés? Le Seigneur Jésus! Voilà le contexte de notre texte : « Avant la fête de Pâque, Jésus sachant que son heure était venue… »
C’est dans ce contexte qu’il aima les siens jusqu’au bout. Oui, son amour pour les siens : c’est notre sujet! Bien des gens prennent l’amour de Dieu à la légère. Ils disent : « Oui, bien sûr, Dieu aime tout le monde », sans vraiment connaître son amour. Comment Dieu a-t-il manifesté son amour? En Jésus-Christ! En versant son sang pour nos péchés. Son amour lui a coûté très cher. Nous savons tout cela. Mais il est bon d’y revenir et de nous le rappeler. L’amour de Dieu a été manifesté par le sang de l’Agneau versé pour nos péchés.
Le verset 1 est l’introduction qui nous met dans le contexte : « Avant la fête de Pâque… » Le verset 2 nous fait entrer dans l’action : « Pendant le repas… », c’est-à-dire pendant la fête. Avant la fête… pendant la fête… Pendant la fête, Jésus est à table avec ses disciples pour célébrer la Pâque avec eux et pour manger avec eux l’agneau pascal. Il mange avec eux le symbole de ce qu’il est venu accomplir. Au même moment, Dieu se sert de Satan dans Judas pour préparer la trahison, l’arrestation et la mort de Jésus. « Pendant le repas, alors que le diable avait déjà mis au cœur de Judas, fils de Simon, de le livrer… » (Jn 13.2).
C’est le soir. Dans quelques heures, pendant la nuit, les soldats viendront l’arrêter. Pendant la nuit, son procès commencera. Le lendemain matin, il sera condamné. À 9 heures du matin, il sera cloué sur la croix; à 3 heures de l’après-midi, le sang de l’Agneau aura fini de couler pour nos péchés, tout sera accompli. La veille au soir, avant ce jour ultime, il mange avec ses disciples le symbole de ce qu’il fera le lendemain. Il le fait pour eux et avec eux. Jésus est parfaitement conscient qu’il est sur le point d’accomplir tout ce que la fête de Pâque signifie. C’est par amour pour eux qu’il le fait!
Voyez comme c’est beau! Jésus désire avoir cette communion avec ses disciples. Il mange avec eux, il partage avec eux ce repas. Manger ensemble est signe de communion. Une communion grâce au sang de l’Agneau, grâce à l’œuvre rédemptrice qui nous délivre de nos péchés. Le Christ voulait cette communion intime avec eux. Il veut cette communion intime avec nous. C’est pour cela qu’à la fin du repas, pour remplacer la Pâque, il instituera la sainte Cène pour son Église à venir. L’Évangile de Jean ne parle pas de la sainte Cène, mais on le voit dans les autres Évangiles. La Cène est le nouveau symbole, le nouveau gage de cette communion avec Dieu grâce au sang de l’Agneau. Le Seigneur Jésus veut vivre en relation intime avec les siens, il veut vivre en communion profonde avec nous chaque jour de nos vies. En attendant le grand festin des noces de l’Agneau, en attendant cette communion parfaite qui nous est promise.
Aujourd’hui, nous ne voyons plus le Seigneur Jésus de nos yeux, il n’est plus avec nous physiquement. Est-il absent de nos vies? Nous a-t-il abandonnés? Non! Il est ressuscité victorieux, il est monté au ciel dans son règne, non pas pour nous laisser seuls, mais pour nous envoyer son Saint-Esprit, un autre Consolateur qui garantit cette communion. En montant au ciel, Jésus-Christ n’a jamais cessé d’avoir cette relation intime avec nous. Chaque jour, nous avons besoin d’être rassurés par son amour. Nous avons besoin de vivre cette communion, cette intimité avec lui. Avons-nous cette assurance qu’il nous aime? Sommes-nous persuadés qu’il désire ardemment cette communion avec nous? La seule façon de grandir en maturité est d’être convaincu de son amour. Le seul havre de paix dans nos tempêtes, c’est de goûter jour après jour à son amour. Venez, entrez dans sa présence, goûtez à son amour!
2. La connaissance←⤒🔗
Voyez le verset 1 : « Avant la fête de Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde au Père. » Avant la fête, Jésus sait quelque chose d’important. Il sait que l’heure est venue pour lui de quitter ce monde et de retourner auprès du Père. Peu après, Jésus leur parlera de la croix qui s’en vient, bien sûr, mais aussi de son retour prochain vers le Père. « Maintenant, je m’en vais vers celui qui m’a envoyé » (Jn 16.5). Depuis toujours, Jésus vivait en parfaite communion avec son Père, dans toute la richesse de la gloire céleste. Et maintenant, il se prépare à retourner dans cette gloire, dans cette communion avec son Père. Une chose cependant a changé. Maintenant, il a le droit d’amener ses disciples avec lui. « Je m’en vais vous préparer une place » (Jn 14.3). Et maintenant, il a le droit de leur envoyer son Esprit. « Je prierai le Père, et il vous donnera un autre Consolateur » (Jn 14.16). Tout cela pour faire participer son Église à cette communion avec le Père.
Oui, Jésus sait ce qui s’en vient. Nous trouvons la même idée au verset 3 : « Jésus, qui savait que le Père avait tout remis entre ses mains, qu’il était venu de Dieu et qu’il s’en allait à Dieu. » Il sait d’où il vient. Il sait que son Père lui a confié une mission et que sa mission est accomplie. Bien sûr, il lui reste encore à passer par la croix, la tombe, la résurrection. C’est le cœur même de sa mission! Mais en principe, c’est comme si c’était fait, et il le sait. Jésus sait où il va. Il est sur le point d’entrer dans la gloire céleste, dans l’amour et la communion avec son Père. Il sait qu’il est sur le point d’exercer une parfaite autorité sur l’univers entier. Et pourtant, sachant tout cela, son désir d’être avec ses disciples demeure inchangé. Il choisit de passer du temps avec eux, dans la chambre haute, pour les servir et les aimer jusqu’au bout. Même si Jésus se prépare à partir, cela ne change rien à son amour pour son Église.
Imaginez quelqu’un de très pauvre qui, tout à coup, gagne à la loterie et devient millionnaire du jour au lendemain. C’est très dangereux! Le gagnant peut s’enfler d’orgueil, il abandonne son travail, il se fait de nouveaux amis plus importants qui s’intéressent à son argent, il oublie ses vrais amis. Ceux qui gagnent à la loterie, très souvent leur vie est ruinée. Je ne souhaite ce malheur à personne! Mais que diriez-vous de quelqu’un qui gagne le gros lot et qui continue sa vie comme avant? Il continue son travail. Il continue d’aimer et de servir sa femme et ses enfants. Il continue sa routine quotidienne. Ce serait spécial. C’est un exemple bien imparfait, mais qui peut nous aider à comprendre.
Jésus sait tout ce qui vient très bientôt, il connaît la richesse et l’autorité qui l’attendent quand il retournera dans la gloire de son Père — et cela n’a rien à voir avec la loterie, bien entendu. Mais sachant toute la gloire qui lui revient, que fait-il? Il continue d’aimer les siens. Il se lève de table, ôte ses vêtements, prend un linge dont il s’entoure, prend de l’eau et se met à laver les pieds des disciples. Connaissant l’autorité universelle qui lui revient, il accepte de s’humilier pour servir les siens par amour.
C’est vrai pour nous encore aujourd’hui. Les gens se demandent : Mais où est Dieu? Où est Jésus-Christ? Il est à la droite du Père, dans sa gloire, il détient toute autorité. Pourtant, il est toujours présent dans son Église par son Esprit. Il désire toujours vivre en communion avec nous. En sommes-nous convaincus? Même si le Seigneur Jésus est monté dans la gloire, même s’il ne vit plus au milieu de nos soucis quotidiens, il n’a jamais cessé de nous aimer et de nous servir. Il désire toujours ardemment vivre en communion avec nous, avec vous.
Parfois, nous crions : « Seigneur, où es-tu? Que fais-tu avec nos problèmes, nos souffrances, nos conflits? Seigneur, je suis angoissé au milieu de la tempête. » Que faire alors? Mettons-nous à l’écoute de cette bonne nouvelle : Notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ continue d’aimer son Église, de prendre soin de ses brebis, de vivre en communion avec nous.
Mais voyez ses disciples… De quoi sont-ils conscients au juste? Ils ne comprennent pas le plan de Dieu. Ils espèrent l’arrivée du Royaume dans toute sa grandeur. Ils se demandent qui parmi eux sera le plus grand dans le Royaume, comme nous le rapporte Luc l’évangéliste (Lc 22.24-27). Quand Jésus leur annonce sa mort, ils ne veulent rien savoir. Puis, quand il sera arrêté, tous l’abandonneront. Non, ils ne savent pas, eux, ce qui s’en vient. Ils ne comprennent pas pourquoi tout cela doit arriver.
Nous savons, nous, pourquoi la croix était nécessaire. Nous savons, nous, que Jésus-Christ est ressuscité et qu’il est monté au ciel dans son règne. Mais que savons-nous pour demain? Connaissons-nous le détail du plan de Dieu pour nos vies? Comprenons-nous ce qu’il fait au milieu de nos tempêtes? À quoi riment nos souffrances? Qu’est-ce qui m’attend à mon travail? Qu’arrivera-t-il de ma santé, de mon couple, de mes enfants, de ma retraite? Demain est un inconnu. Jésus-Christ, lui, connaît son lendemain et le nôtre. Il connaît l’avenir. Il sait comment il continuera de régner demain sur chacune de nos situations. L’avenir vous inquiète? Venez vous reposer en lui! « Que votre cœur ne se trouble pas! » (Jn 14.1). Il est le bon Berger qui prend soin des siens. Il continue de nous aimer. Il ne vous laissera pas tomber.
3. Le cœur←⤒🔗
De quel cœur s’agit-il? Du cœur de Jésus. Il révèle son cœur à ses disciples, comme Jean nous le dit au verset 1 :
« Avant la fête de Pâque, sachant que l’heure était venue pour lui de passer de ce monde au Père, Jésus, qui avait aimé les siens qui étaient dans le monde, les aima jusqu’au bout. »
« Les siens qui étaient dans le monde. » Que veut dire « le monde »? Dans la Bible, « le monde » peut vouloir dire l’univers organisé que Dieu a créé. Ce mot peut vouloir dire l’ensemble des humains. Il peut aussi vouloir dire le monde rebelle à Dieu, opposé à lui. C’est ce dernier sens qu’il faut retenir. Les siens faisaient partie de l’alliance que Dieu avait conclue avec son peuple, oui. En même temps, ils faisaient partie du monde rebelle et corrompu qui déteste Dieu. Et pourtant, « Jésus avait aimé les siens qui étaient dans le monde ».
Comment est-ce possible? Rien dans ce monde corrompu et pollué par le péché n’est attirant pour Dieu. Comment Jésus peut-il aimer des gens comme nous? C’est inexplicable. Nous ne sommes pas aimables. Nous sommes détestables. D’où vient son amour? De son cœur. Il nous aime parce qu’il nous aime, selon son bon plaisir éternel. Et alors, Jésus va vers les siens, ceux que le Père lui a donnés depuis toute éternité, même s’ils sont dégoûtants. Il les aime. Il n’a pas peur de se salir les mains pour venir nous prendre dans notre pollution, il nous arrache à nos péchés, il nous lave de nos saletés, tout comme il s’est abaissé à leur laver les pieds. Le lavement des pieds est un symbole du lavage spirituel dont nous avons tant besoin.
Cela ne veut pas dire que Dieu aime de manière générale tous les hommes dans le monde, sans distinction, comme ceux qui disent : « Oui, oui, Dieu aime tout le monde. » Non, la Bible dit que Dieu déteste les méchants (Ps 5.6-7; 11.5). Il aime les siens, ceux qui lui appartiennent. Le Seigneur Jésus est dans l’intimité de la chambre haute, pour leur parler cœur à cœur, comme un mari avec son épouse. Un homme peut avoir des amitiés avec plusieurs femmes, mais avec sa femme, il aura un amour exclusif. L’intimité du mariage ne peut pas se partager avec d’autres. Il en est de même de l’intimité qui existe entre le Seigneur Jésus-Christ et son Église. Il est l’Époux, l’Église est son Épouse. Vous allez me dire que Judas est encore là, présent dans la chambre haute avec les autres apôtres, c’est vrai, mais Jésus, dans un instant, s’occupera de l’exclure pour être seul avec les siens.
« Jésus les aima jusqu’au bout. » Que veut dire « jusqu’au bout »? Cela veut dire jusqu’à l’extrême, d’un amour suprême, au prix de sa vie. Cela veut dire aussi jusqu’aux derniers instants de son ministère terrestre, incluant sa mort et sa résurrection. Vous savez, quand nous souffrons, nous avons tendance à nous concentrer sur nous-mêmes et à oublier les autres. Mais pas Jésus. Il aurait pu dire : « C’est l’heure la plus sombre de toute ma vie. C’est le temps de penser à moi, j’arrête de m’occuper d’eux. » Et nous aurions compris. Mais non, au milieu de la pire tempête de sa vie, « il les aima jusqu’au bout », à l’extrême, jusqu’à la fin de sa vie, et jusqu’au but qu’il avait pour eux. « Il les aima jusqu’au télos », c’est-à-dire jusqu’au but ultime qu’il avait pour eux, celui de les faire entrer avec lui dans l’éternité et de leur faire partager sa gloire. Il nous aimera pour toujours. Même s’il est monté au ciel, et plus exactement parce qu’il est monté au ciel et qu’il règne, son amour pour nous est encore là et sera toujours là. Rien nous pourra nous séparer de son amour!
Aujourd’hui, le Seigneur Jésus au ciel continue d’aimer les siens du même amour. Vous qui vous confiez en lui, il vous aime et vous aimera à l’extrême, jusqu’au bout et jusqu’au but ultime qu’il a pour vous, même si vous êtes dans ce monde, avec vos problèmes, vos saletés, vos péchés qui s’attachent encore à vous. Le monde vient nous salir, il nous contamine spirituellement. Jésus continue de nous aimer. Il prend un linge, il prend de l’eau, il nous lave, il nous purifie. Oui, il est monté au ciel, pourtant il continue de servir, il continue d’aimer et de rechercher la communion avec nous. Même quand nous tombons, comme les disciples qui sont tombés, comme Pierre qui l’a renié, comme les autres qui l’ont abandonné. Même quand nous sommes rebelles, il pardonne, il aime, il donne encore sa grâce et sa paix. Il nous ramène à lui dans la repentance et la foi, pour que nous soyons en communion avec lui.
Vos cœurs sont-ils émus par son amour? Cette question est très importante! Êtes-vous convaincus qu’il vous aime? C’est essentiel! Son amour est le diamant le plus précieux que vous puissiez posséder. Bien-aimés en Jésus-Christ, que Dieu mette dans vos cœurs la conviction profonde qu’il vous aime et que son amour pour vous ne changera jamais. Qu’il vous donne ainsi sa paix! Ce trésor est le plus beau des diamants. Il vous appartient en Jésus-Christ. Amen.